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Mondial-2018 : Lloris, le cap du centenaire

Foot > Coupe du monde Foot 2018 > Mondial-2018 : Lloris, le cap du centenaire
Par 24matins.fr avec AFP,  publié le 20 juin 2018 à 17h17, modifié le 20 juin 2018 à 17h32.
 4 minutes

Le gardien et capitaine de l’équipe de France, Hugo Lloris, va fêter sa 100e sélection jeudi face au Pérou lors du Mondial-2018, une longévité exceptionnelle qui ne suffit pas toujours à faire taire les critiques.

“C’est une grande fierté personnelle, mais ça reste secondaire parce qu’on est en pleine Coupe du monde”, a souligné poliment le portier à la veille de la rencontre. “C’est difficile de rester dans la durée. J’en suis très fier”.

C’est simple, aucun gardien français n’a fait mieux avant lui, même s’il bénéficie de la cadence plus régulière des matches internationaux. Lloris, 31 ans, a déjà dépassé depuis un bon moment les 87 capes de Fabien Barthez.

Et le gardien de Tottenham se rapproche à toute vitesse des joueurs de champ les plus emblématiques de l’histoire de l’équipe de France, dont son sélectionneur (et ancien milieu de terrain) Didier Deschamps qui pointe à 103 sélections – et auquel il avait déjà ravi le record de capitanats, puisqu’il portera le brassard pour la 76e fois jeudi, contre 54 pour “DD”.

“Il a une grande carrière, une carrière qui parle pour lui au niveau international, c’est fort ce qu’il fait. 100 sélections, ce n’est pas rien. Chapeau Hugo”, a salué un autre taulier, Blaise Matuidi, en début de semaine.

L’Allemagne à l’Euro-2016

Sa première sélection remonte au 19 novembre 2008 lors d’un match amical contre l’Uruguay (0-0) au Stade de France. Mais il s’est durablement installé au poste de numéro 1 à partir d’août 2009 contre les Féroé, sous les ordres de Raymond Domenech, déçu par la mauvaise passe de Steve Mandanda.

Depuis, Lloris n’a plus lâché sa place dans la hiérarchie et a porté les Bleus dans des matches clés, passant des épreuves les plus douloureuses – le scandale de Knysna à la Coupe du monde 2010 – aux aventures les plus festives, avec l’Euro-2016, jusqu’en finale, à la maison.

Parmi ses matches les plus aboutis, on se souvient de son exceptionnelle demi-finale contre l’Allemagne (2-0) il y a deux ans à l’Euro, avec deux parades décisives sur une reprise d’Emre Can (14e minute) et un tir de Bastian Schweinsteiger (26e), avant de conclure la soirée par un arrêt de grande classe sur une ultime tentative de Joshua Kimmich (90+3), pour définitivement écœurer la Mannschaft.

Mais il y a aussi des moments de doute, notamment ces derniers mois en équipe de France, où Lloris n’a pas été épargné par les critiques. Le Niçois s’est troué lors du déplacement en Suède, en juin 2017, en éliminatoires du Mondial, avec un dégagement complètement raté dans les pieds d’un Suédois qui avait coûté un but et une défaite problématique pour les Bleus (2-1) sur la route de la Russie.

Et il n’a pas non plus été impérial pendant les matches de préparation contre l’Italie (3-1) et les États-Unis (1-1), même s’il s’est bien ressaisi pour ses débuts en Coupe du monde contre l’Australie (2-1), en se montrant vigilant lors de cette laborieuse victoire de l’équipe de France.

Discrétion

Les critiques viennent aussi de l’ingratitude du poste de gardien. “Dans un football où on aime voir des buts, le gardien est une forme de souffre-douleur”, souligne auprès de l’AFP, Joseph-Antoine Bell, ancien portier emblématique de la sélection camerounaise.

“Je pense qu’Hugo Lloris n’est pas le meilleur gardien du monde, mais qu’il est parmi les meilleurs. 100 sélections, même s’il y a beaucoup plus de matches qu’avant, c’est forcément respectable et à respecter”, insiste-t-il.

Lloris paye peut-être aussi son caractère discret, en dépit de son statut de capitaine, et un goût prononcé pour la langue de bois en conférence de presse.

“Ce n’est pas quelqu’un qui attire la lumière, il ne cherche pas à être mis en avant”, convient le défenseur Raphaël Varane, “mais quand il parle, il est écouté et respecté. On cherche souvent des patrons mais c’est lui le patron, c’est lui le capitaine”, assure-t-il.

“Effacé, ça devrait plus être un constat qu’une critique. Cela dépend de ce qu’on en fait. Il est calme, c’est une qualité pour un gardien”, juge Joseph-Antoine Bell. “Et je devine que Didier Deschamps ne l’aurait pas gardé en tant que capitaine, s’il n’était pas capable de prendre la parole dans le vestiaire”.

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