Décès par un chauffard du fils du chef Yannick Alléno : le conducteur qui était positif à l’alcool et stupéfiants remis en liberté en attendant son procès

Le dimanche 8 mai 2022, Antoine Alléno (24 ans), fils du célèbre chef Yannick Alléno était mortellement renversé par un délinquant et conducteur récidiviste au volant d’une voiture volée.

Pascal Praud, animateur sur CNews, abattu par cette information

Un dimanche soir de mai 2022, Antoine Alléno était tué, percuté par une voiture alors qu’il était sur son scooter. Positif à l’alcool, et aux stupéfiants, il était connu des services de Police pour différentes infractions comme des délits routiers, des affaires de violence, Etc. Pire, il était visé par une fiche de recherche pour une peine de prison qu’il n’avait pas purgée.

Positif à l’alcool, aux stupéfiants et visé par une fiche de recherche pour une peine de prison qu’il n’avait pas purgée !

Hier sur CNews, le journaliste Pascal Praud annonçait que le chauffard responsable de la mort d’Antoine Alléno avait été remis en liberté neuf mois après le drame, de quoi ‘rendre fou’, à l’antenne, le présentateur de ‘L’heure des pros’.

L’association regrette que la loi française ne permette pas de maintenir en détention provisoire l’auteur des faits jusqu’au procès

L »association Antoine Alléno’, a tenu à réagir face à cette info incompréhensible : « L’association Antoine Alléno partage la vive émotion suscitée par l’information selon laquelle l’auteur de l’accident qui a causé la mort d’Antoine Alléno a été remis en liberté. L’association tient à préciser que cette remise en liberté ne relève en aucun cas de la responsabilité des juges mais de la responsabilité directe du législateur français. Dans de telles circonstances, l’association regrette que la loi française ne permette pas de maintenir en détention provisoire l’auteur des faits jusqu’au procès« .

Renommer en « Homicides routiers » les accidents mortels dus à la drogue, stupéfiants et alcool

Il y a quelques jours à l’annonce par le ministre Gérald Darmanin de vouloir renommer en « Homicides routiers » les accidents mortels dus à la drogue, stupéfiants et alcool, Yannick Alléno avait répondu : « L’homicide routier s’impose évidement ! Quand on a une voiture ou un autre objet qui peut donner la mort et détruire des familles entières, l’avenir français, tous ces jeunes qui n’ont rien demandé et surtout pas de mourir ! Oui « l’association Antoine Alléno » réclame cette décision ! Bravo monsieur le ministre ! ».