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Etude : seulement un salarié sur cinq accorde une place “très importante” au travail dans sa vie

Société > Emplois > Pôle Emploi > Sondage
Par Lionel Durel,  publié le 24 janvier 2023 à 15h30.
Société
Une salle de réunion prête

Une salle de réunion prêtePixabay

C'est un fait, les Français accordent une place beaucoup moins importante au travail comme le démontre cette nouvelle enquête de l'IFOP.

Pour les Français, le travail joue un rôle moins structurant au quotidien. L’an passé déjà, une étude complète de la ‘Fondation Jean Jaurès’ allait largement dans ce sens, celle de l’IFOP ne fait que confirmer cette tendance. Pourtant, au début des années 90, la valeur travail était centrale pour les Français puisque 92% d’entre eux considéraient qu’elle était en effet ‘importante’ dans leur vie, et 60% qu’elle était “très importante’.

Une chute terrible entre aujourd’hui et les années 1990

Aujourd’hui, seul un salarié sur cinq accorde une place “très importante” au travail dans sa vie…La pandémie semble avoir changé l’approche des salariés envers le travail. 37% des Français se disent moins motivés qu’avant le Covid-19 dans leur emploi.

37% des Français se disent moins motivés qu’avant le Covid-19 dans leur emploi

Management trop ‘dur’, scandales à répétition (pour certaines entreprises), manque de déontologie, les Français ne sont plus “fiers” de leur entreprise.

20% des hommes affirment que le travail occupe une place très importante dans leur vie contre 22% des femmes (21% des 18-24 ans contre 23% des 50-65 ans). 18% des professions intermédiaires le pensent, 20% des employés, 23% des ouvriers et 25% des cadres.

53% des cadres du privé de moins de 40 ans sans responsabilités d’encadrement souhaitent en exercer

On peut émettre l’hypothèse que la dissolution de la représentation spatiale de la hiérarchie, via le télétravail et le flex office, a pu contribuer à ralentir l’ambition de gravir les échelons hiérarchiques. Encadrer d’autres personnes, auparavant élément statutaire indispensable à la réussite professionnelle ne mobilise plus autant les jeunes générations. Une courte majorité (53%) des cadres du privé de moins de 40 ans sans responsabilités d’encadrement souhaitent en exercer à l’avenir, précise l’IFOP dans son rapport.

Le Récap
  • Une chute terrible entre aujourd’hui et les années 1990
  • 37% des Français se disent moins motivés qu’avant le Covid-19 dans leur emploi
  • 53% des cadres du privé de moins de 40 ans sans responsabilités d’encadrement souhaitent en exercer
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