Durant les différents confinements les Français ont beaucoup dépensé pour aménager leur intérieur
Être bien dans son logis est devenu une nécessité pour les Français qui après plusieurs confinements ont passé beaucoup de temps cloitré chez eux. Voici les résultats d'une dernière étude.
Si certains commerces ont très mal vécu la pandémie, d’autres comme les magasins de décoration ou les grandes surfaces de bricolage ont tiré leur épingle du jeu. D’après une étude de Cofidis (société de crédit à la consommation), le budget moyen alloué à ces aménagements d’intérieur a frôlé les 5000 euros par foyer. Nos compatriotes ont donc pensé à leur ‘bien-être’ dans leur intérieur et privilégiés le ‘cocooning’ à domicile…
Donner un nouveau souffle à leur intérieur
L’étude de l’institut CSA * pour Cofidis montre que 48% de Français ont dépensé sans compter puisque le budget moyen alloué s’élève à 4772 euros. Les autres ont dépensé moins de 1300 euros pendant que 35% ont même dépensé moins de 500 euros. Par ordre d’importance, les Français ont surtout réalisé des travaux de décoration (40%). Des achats de nouveaux meubles pour 30% d’entre eux et pour 27% des éléments de décoration. Le changement d’une cuisine ou d’une salle de bains (25%) et 21% ont consacré leur budget dans l’achat de nouveaux équipements électroménagers. Si 39% des Français ont fait passer ces dépenses sur leur budget courant, 32% ont pioché dans leur épargne personnelle, les autres (25%) ont épargné afin de réaliser ces différents achats. Dans l’ensemble, les Français portent un regard favorable sur leur intérieur et lui attribuent la note moyenne de 7,8/10. Les travaux d’aménagement menés dans le contexte des confinements et couvre-feu depuis 2020 semblent porter leurs fruits, puisque 28% des Français interrogés affirment aujourd’hui se plaire davantage chez eux. Mieux, plus de la moitié (57%) des personnes ayant réalisé des aménagements intérieurs attribuent une note égale ou supérieure à 9/10 à leur logement.
*Étude réalisée par CSA Research pour Cofidis France, par questionnaire auto-administré en ligne du 11 au 17 février 2021 auprès d’un échantillon représentatif de 1011 Français âgés de 18 ans et plus, construit selon la méthode des quotas.