Comment optimiser ses congés en 2026 grâce aux ponts et jours fériés

En 2026, l’agencement des jours fériés offre plusieurs opportunités pour allonger ses vacances grâce aux ponts. Découvrez comment organiser judicieusement vos congés afin de profiter au mieux des week-ends prolongés l’an prochain.

Un calendrier 2026 propice aux congés

Si l’année 2025 vient tout juste de s’achever sur un dernier « pont » bien apprécié autour du 11 novembre, la question revient déjà : que nous réserve le calendrier des jours fériés en 2026 ?

Après une année où le débat fut vif sur la suppression potentielle de deux jours chômés – mesure portée par François Bayrou, puis finalement abandonnée par Sébastien Lecornu –, les Français se tournent vers l’an prochain avec un œil sur leurs futures escapades.

Mai, mois roi des week-ends rallongés

Dès le début de l’année, le ton est donné : le 1ᵉʳ janvier 2026, un jeudi, permet à ceux qui posent leur vendredi d’obtenir quatre jours de repos consécutifs. Cette tendance se confirme au printemps. Le traditionnel lundi de Pâques conserve sa place, mais c’est surtout le mois de mai qui attire tous les regards. Cette année-là, les deux grands classiques – le 1er et le 8 mai – coïncident avec un vendredi ; autrement dit, week-ends prolongés pour tous ceux qui peuvent profiter de ces journées non travaillées.

La tentation sera grande d’ajouter quelques congés pour étirer encore ces périodes. De plus, l’Ascension tombe le jeudi 14 mai : poser son vendredi équivaut à s’offrir, là aussi, quatre jours loin du bureau. Quant au lundi de Pentecôte, devenu jour de solidarité depuis plusieurs années mais parfois chômé selon les entreprises ou secteurs, il s’invite le 25 mai : là encore, glisser un jour avant ou après peut permettre de savourer une pause prolongée.

L’été et la fin d’année : contrastes et opportunités

En juillet, la Fête nationale promet elle aussi son lot d’évasion. Le 14 juillet tombe un mardi : en sacrifiant son lundi précédent, on s’offre un nouveau week-end long. Petite déception toutefois pour l’Assomption, prévue un samedi ; aucun pont possible ici.

La liste des possibilités mérite d’être clarifiée : Noël (25 décembre) et Nouvel An (1ᵉʳ janvier) tomberont chacun un vendredi : deux occasions supplémentaires de profiter d’un repos prolongé. En revanche, la Toussaint ne permettra aucun aménagement spécial puisqu’elle coïncidera avec un dimanche. Pour les amateurs d’escapades automnales cependant, l’Armistice du 11 novembre, placé un mercredi, offre la possibilité rare d’étendre son temps libre jusqu’à cinq jours pour ceux capables d’organiser leur emploi du temps.

Pont(s) et perspectives pour les Français

En somme, ce millésime calendaire semble généreux envers celles et ceux adeptes des pauses prolongées. Si certains devront composer avec des dates moins favorables (comme le samedi 15 août), beaucoup trouveront matière à organiser leurs congés pour maximiser leur repos – à condition toutefois que leur secteur permette encore la prise effective de ces jours chômés.