Finistère : interpellé pour excès de vitesse 15 jours avant de passer son permis

Le compteur de vitesse d'une voiture. Image d'illustration.Brett_Hondow / Pixabay
Samedi à Kerlouan, les gendarmes sont allés interpeller un individu à son domicile pour excès de vitesse. Une personne qui était censée passer son permis deux semaines plus tard.
En tout début de semaine, sur facebook.com/Gendarmeriedufinistere/posts/pfbid028H5DhfqjkUDzA7EHjshHKMp3augcc8FWQxhxnYqE7cqspKSf6EGTTYyAvnjAwZiwl?__cft__[0]=AZUFeg5pKVIR5J_xv1lCCBrtyvHtoWas9MHxkj6DsGRlE4vhd0M91-l_Omh_p5rNp4EaDJ8BFX8o2plAnZfPQ_-XAMl8-k-rF1M2nCGorsJ7nLVmaGzYlblLPzpL-dXO7wOqgmKa3TCiJRyz9P_W25P8wr0aIOgSM-jUHHxL_SAdYeDHsBtp5G5rJJDM03aptJ0&__tn__=%2CO%2CP-R">sa page Facebook, la gendarmerie du Finistère a partagé un incident survenu deux jours plus tôt. Le samedi 29 juillet dernier, donc, la BMO (Brigade motorisée) de Brest procédait à des contrôles de vitesse sur la RD 10, au niveau de la commune de Kerlouan.
À Kerlouan, un véhicule contrôlé pour un excès de vitesse de 48 km/h
En fin d’après-midi, à 17h00, un véhicule BMW série 3 a été contrôlé à 98 km/h. Seulement, la vitesse maximale autorisée était de 50 km/h. Devant cet apparent excès de vitesse, les militaires sont aller interpeller l’automobiliste. Sauf que ce dernier n’a pas favorablement répondu aux sommation des gendarmes, et d’avoir pris “la fuite en direction de #Guisseny”.
Le contrevenant interpellé à son domicile
Les gendarmes se sont rendus au domicile du contrevenant, où ils trouvé leur homme. Celui-ci a reconnu les faits qui lui étaient reprochés, et en plus d’admettre qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire. Un examen, a-t-i ajouté, qu’il était censé passer deux semaines plus tard.
La voiture placée en fourrière administrative pour sept jours
Le véhicule de l’automobiliste a été placé en fourrière administrative pour une durée de sept jours. Comme noté par France Bleu Breizh Izel, on ignore si cette personne reste autorisée à passer son permis au vu des circonstances. Dans sa publication, la gendarmerie du Finistère rappelle que “la vitesse est la première cause de mortalité routière en France. Elle est à la fois un facteur déclencheur de l’accident mais aussi un facteur aggravant.”