Menu
24matins
Navigation : 
  • Actualité
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • International
  • Économie
  • Santé
  • Politique
  • Sport
  • Tech
    • trackr.fr
  • Divertissement
    • Séries TV
    • Films
    • Recettes
En ce moment : 
  • France
  • Quotidien
  • Loi
  • Jardin
  • Cuisine

Besançon : dix-huit mois avec sursis pour avoir agressé sa compagne et menacé son fils de six ans

Faits Divers > Justice > Besançon
Par Jérôme Nelra,  publié le 12 septembre 2019 à 13h30.

Le quarantenaire avait en outre fait l'éloge de Jonathann Daval, soupçonné d’avoir tué sa femme en octobre 2017 à Gray-la-Ville en Haute-Saône.

Mercredi, le tribunal de Besançon (Doubs) a condamné un homme de 41 ans à dix-huit mois de réclusion avec sursis. Le 10 juillet dernier dans cette même ville, il avait brièvement étranglé sa compagne, avant de séquestrer son propre enfant de 6 ans en le menaçant de deux couteaux de cuisine. Pris de folie, le commercial avait loué à plusieurs reprises le courage de Jonathann Daval, lequel disait-il, avait « eu les ‘couilles’ d’aller jusqu’au bout » afin de « se libérer de sa compagne castratrice », rapporte L’Est Républicain.
La peine de sursis a été assortie d’une mise à l’épreuve de deux ans, accompagnée d’une obligation de soins et de l’interdiction d’entrer en contact avec sa compagne.

Voisins et policiers tentent de le raisonner

Durant une vingtaine de minutes, des voisins puis des policiers ont tenté de raisonner l’homme dont l’exigence était de parler à sa femme pour négocier « les conditions » de leur séparation. Finalement, deux agents étaient parvenus à le maîtriser.
L’expertise psychiatrique a conclu que le prévenu présente une personnalité « borderline », sujette à un puissant « syndrome d’abandon » édifié sur « des carences affectives ».
Durant l’audience, l’avocate des parties civiles a dénoncé le « sourire narquois » arboré par le prévenu, qu’elle a qualifié « d’impulsif » et capable « de recommencer à n’importe quel moment ».
Quant à la la procureure, elle a estimé que « La situation ne sera pas réglée par la détention », en requérant « une peine au-dessus de sa tête qui le forcera à se soigner ».

Le Récap
  • Voisins et policiers tentent de le raisonner
En savoir plus
  • Attentats du 13 novembre : Salah Abdeslam s’intéresse à la justice restaurative, de quoi s’agit-il ?
  • Les propriétaires d’un logement Airbnb condamnés à payer 10 000 euros pour avoir troublé la tranquillité de leurs voisins
  • Un baron australien de la drogue voit sa sentence réduite à cause de l’implication secrète de son avocate
Vous aimez nos contenus ?
Recevez chaque jour nos dernières publications gratuitement et directement dans votre boite mail
Recevoir la newsletter
  • À Propos
  • Nous contacter
  • Infos Légales
  • Gestion des données personnelles
© 2025 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins  - ADN Contents -