Bigard au sujet de l’accident de Pierre Palmade sous l’emprise de stupéfiants : « Je suis embêté car il est comme mon frère, mais il est responsable à 100% « 

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Par Lionel Durel,  publié le 14 février 2023 à 16h30.

Hier soir, l'humoriste Jean-Marie Bigard s'est exprimé sur l'accident impliquant Pierre Palmade, dans lequel un petit garçon de 6 ans est toujours dans le coma ; une femme enceinte de 7 mois (elle a 26 ans) a également perdu son bébé.

Pierre Palmade était sous l’emprise de stupéfiants (cocaïne et des médicaments de substitution) suite aux examens pratiqués après l’accident de voiture qui laissera des familles marquées à vie.

Des familles marquées à vie

Hier, sur le plateau de ‘Touche pas à mon poste !’, le chroniqueur de Cyril Hanouna, Jean-Marie Bigard paraissait marqué par ce drame : « Je suis très embêté pour parler car Pierre est comme mon frère, mais il est responsable à 100% de ce qui est arrivé« .

Ma compassion pour les victimes de cet accident

« Deux choses : d’abord, c’est ma compassion pour les victimes de cet accident qui n’y sont pour rien. Ces gens-là ont subi un drame absolument épouvantable et la deuxième chose que je suis obligé de dire c’est que Pierre Palmade est responsable à 100 % de cet accident, donc les conclusions, en dehors de prier, de souhaiter, que ces gens-là non seulement ne meurent pas mais n’aient pas trop de séquelles trop graves« .

« Pierre a eu pas mal de problèmes, y compris dans sa maison où des gens ont abusé de la situation parce qu’après deux nuits sans sommeil, tu es moins vigilant sur tout ce qu’il se passe dans ta maison. Ça, c’était un truc régulier qui se passait« .

Avec la cocaïne, à un moment tu sais même plus ce que tu fais, ou tu es, à qui tu parles

« La cocaïne a détruit petit à petit ; ça dure 24h ou même 48h, c’est que tu peux passer une nuit blanche sans aucun problème, t’es ivre mort, tu prends de la cocaïne, ça te désaoule, la soirée ne s’arrête jamais, ça veut dire qu’au bout de 2 ou 3 nuits blanches tu n’es plus qu’un fantôme, à un moment tu ne sais même plus ce que tu fais, ou tu es, a qui tu parles« , a conclu Jean-Marie Bigard.