Marion Maréchal-Le Pen « séduite » par Nicolas Sarkozy
Le quotidien catholique traditionaliste d’extrême droite à propos à la nièce de Marine Le Pen une interview. Cette dernière révèle que la jeune femme a été séduite par le personnage de l’ancien chef de l’état.
Au sein de cette interview proposée par Présent relayée par le site de TF1, Il est possible d’apprendre que Marion Maréchal Le Pen a été « séduite » par l’ancien Président de la République. Elle voudrait également proposer une « union des droites ». La jeune députée se confie et déclare, « j’ai commencé, à avoir de l’intérêt pour la politique vers l’âge de 16 ans et j’ai suivi d’abord un peu de loin la campagne de 2007 de mon grand-père ». Marion est âgée de 22 ans et fait des études de droit. Elle dispose ainsi d’une expérience comme elle l’exprime dans cette interview parue dans la journée de mardi, « j’ai eu mon petit parcours en marge du FN, et j’ai été séduite par le personnage Sarkozy. J’ai commencé à fréquenter certains milieux de jeunes UMP, je voulais en connaitre plus, j’étais intriguée. Puis comme beaucoup de déçus du Sarkozysme j’ai réfléchi ».
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Ce n’est pas une novice dans le secteur de la politique puisque Marion avait proposé en 2008 sa candidature sur les listes du Front National à l’occasion des municipales dans la ville de Saint-Cloud. Elle participe deux ans après aux élections régionales pour l’Ile-de-France. En parallèle, la jeune femme poursuit son cursus scolaire à Paris 2e à l’université d’Assas ou elle obtient « ses écrits de Master 2 ».
Marion prône également un rassemblement et pourrait collaborer avec Jacques Bompard, l’élu d’extrême droite au sein du Vaucluse. Pourtant, Marine Le Pen ne souhaitait pas la mise en place d’un partenariat, l’homme entretient de mauvais rapports avec le président d’honneur Jean-Marie Le Pen. Dans tous les cas, Marion émet la possibilité d’un rassemblement « le clivage politique est quasi inexistant. Les lignes bougent, de jeunes UMP sont venus militer pour moi. S’il y a une reconquête politique de la droite française, elle partira du sud ».