Michel Drucker alors qu’il frôlait la mort : « Je vais retrouver tous ceux qui nous ont quittés, tous les copains »
Après une lourde opération du cœur, le plus célèbre animateur de France signe son retour et se confie sur cette période difficile.
Michel Drucker a passé un moment très difficile récemment, hospitalisé pour un problème cardiaque. Le célèbre animateur a alors subi une opération du cœur très lourde avec de nombreuses complications. Pendant cette période, beaucoup se sont inquiétés de la santé de l’homme, absent des écrans. Hospitalisé dans un hôpital public sous un pseudonyme pour son anonymat, Michel Drucker a simplement frôlé la mort. Heureusement, l’animateur va mieux depuis et a repris Vivement dimanche, passant même par l’écriture d’un livre publié au mois d’avril. Et en interview pour Sud Radio, l’homme s’est confié sur ses pensées intimes alors que sa vie ne tenait qu’à un fil.
Michel Drucker a pensé à ses amis, ses proches décédés
Après une opération du cœur et une longue convalescence, Michel Drucker est de retour ! L’homme a traversé un moment très difficile, se confiant sur les premiers mots très surprenants de sa femme à la sortie du bloc opératoire. « La première chose qu’elle m’a demandée, parce qu’on ne s’est pas vus pendant longtemps, je n’avais pas le droit à beaucoup de visites à cause du Covid, c’est : ‘Alors, tu as vu la mort de près. À quoi ça ressemble ? » lui a demandé cette dernière, Dany Saval.
Michel Drucker révèle également ses pensées alors qu’il frôlait la mort. L’animateur a immédiatement pensé à ses amis, ses proches décédés. qu’il allait rejoindre…
Je n’ai pas de croyance particulière, je n’ai pas été élevé dans la religion, mais quand même, je me disais : ‘Après tout, je vais retrouver mon frère, mes parents, Cloclo, Coluche, Le Luron, Charles, Johnny, Dassin, Christophe… Je vais retrouver tous ceux qui nous ont quittés, tous les copains’. Et ça me faisait penser à une chanson qui termine mes spectacles, maintenant que je suis sur scène. Je me disais : ‘Nous nous reverrons un jour ou l’autre’.