Il met violemment à la porte la compagne enceinte de son ami
Après avoir violemment mis à la porte la compagne enceinte de son ami et la découverte d'ecstasy chez sa mère, un habitant de Villeurbanne a été condamné à un an de prison ferme avec aménagement de peine possible.
Les faits remontent au mardi 7 mars dernier et ont eu lieu dans la commune de Villeurbanne. Il est minuit lorsqu’un jeune homme de 25 ans débarque au domicile d’un ami. Le premier a visiblement besoin des lieux, également occupés par la compagne de son “pote”, enceinte de sept mois.
L’arrivant décide alors de mettre à la porte la jeune femme afin d’être davantage à son aise. Celle-ci refuse d’accéder à sa requête et le lui fait savoir. L’ami de son compagnon lui signifie qu’il va “la défoncer”, et de joindre le geste à la parole, comme le rapportent nos confrères du Progrès.
Il violente une jeune femme, le compagnon impassible
Le jeune homme commence ainsi par asséner des gifles à la jeune femme, avant d’enchaîner par des coups de poing et pied, le tout sous le regard du compagnon de la future maman qui ne donne visiblement pas l’impression de vouloir mettre un terme aux violences.
Il préviendra toutefois les urgences en voyant la tête de sa compagne en sang, non sans affirmer “qu’elle l’a bien cherché”. L’auteur des coups ne quitte quant à lui pas le logement, “content d[‘]avoir éclaté la gu..le” de la jeune femme.
Un an ferme après la découverte d’ecstasy chez sa mère
Tout récemment, l’agresseur supposé, au casier riche de neuf inscriptions, a comparu devant la justice. Il n’a reconnu qu’une “tarte” et indiqué que la jeune femme avait inventé tout le reste, en dépit d’hématomes présents sur le corps de celle-ci. La victime n’était d’ailleurs pas présente au tribunal, et il est ajouté que si elle a reçu 5 jours d’ITT (incapacité totale de travail), son accouchement reste toutefois d’actualité.
Le prévenu a pour sa part été condamné à un an de prison ferme avec possibilité d’aménager sa peine. Laquelle aurait possiblement été moins lourde si la police n’avait pas retrouvé, au domicile de sa mère, pas moins de 2.360 cachets d’ecstasy.