Loana affirme que Loft Story n’est pas à l’origine de sa détresse mais possédait des « fêlures » bien avant
Lors d'une interview pour Télépro, la femme est revenue longuement sur Loft Story, qu'elle décrit comme une belle expérience.
C’est en 2001 que la France découvre sa première télé-réalité, qui fera couler beaucoup d’encre : Loft Story. Une émission présentée par Benjamin Castaldi dont Loana ressortira grande gagnante, faisant la Une des magazines pendant plusieurs mois. Mais les années passent et la candidate tombe dans une spirale infernale, celle de la drogue et de l’alcool. Récemment, Loana a même été prise en charge dans un hôpital psychiatrique. Beaucoup pointent la responsabilité de Loft Story, qui aurait abimée la femme avec son voyeurisme et sa médiatisation. Mais selon la principale intéressée, il n’en serait rien, rapporte Télé-Loisirs.
Loana confie tout devoir à Loft Story
Et si Loft Story n’était pas responsable de l’état actuel de Loana, qui tente de se remettre sur pied avec une grande détermination ? C’est ce que la femme a expliqué lors d’un entretien pour Télépro, expliquant tout devoir « à Loft Story contrairement à ce qu’on pense » qui « a été la chance de ma vie ». Loana confie qu’elle possédait des « félures » avant même de participer à la première télé-réalité française. Cette dernière pense faire trop facilement confiance aux gens l’entraînant vers le bas.
J’avais des fêlures bien avant de faire le Loft. C’est mon entourage qui a fait que j’ai eu une descente aux enfers. La drogue est géniale avec le paradis, mais après il y a la fatigue, l’agoraphobie, les vertiges. On souffre le martyr pour s’en sortir. Je commence une nouvelle année pour une nouvelle vie.
La responsabilité de la chaîne qui diffusait Loft Story, à savoir M6, a également été pointée du doigt. On reproche au groupe d’avoir abandonnée Loana après sa victoire, retombant dans l’anonymat après la gloire.
Les chaînes ne vont pas faire le suivi pendant des années, ce ne sont pas nos parents. Si on fait des conneries, c’est à nous de les assumer.