Jean-Pierre Pernaut se confie sur son confinement et la peur du COVID-19
Le présentateur phase de TF1 a livré son ressenti, au micro de LCI.
Jean-Pierre Pernaut, un visage que les français connaissent bien, présentateur du JT de 13 heures, sur TF1, depuis près de 33 ans. Mais prochainement, l’homme quittera l’antenne après toutes ces années. A cette occasion, Jean-Pierre Pernaut était l’invité du journaliste suisse Darius Rochebin sur LCI. L’occasion d’un tour d’horizon de sa carrière télévisuelle et plusieurs confidences à ce propos. Jean-Pierre Pernaut avait notamment expliqué, dans l’émission, avoir été blessé par sa marionnette dans Les Guignols, le dépeignant comme un vieux réactionnaire. Et aujourd’hui, le présentateur s’est confié sur son confinement et sa peur du COVID-19.
« J’ai eu peur bien évidemment de la maladie »
Pendant le confinement, Jean-Pierre Pernaut fût au rendez-vous, tous les 13 heures sur TF1, pour présenter le journal. Depuis chez lui, le journaliste a assuré ce rendez-vous quotidien avec les français. Un rituel qui n’a pas empêché Jean-Pierre Pernaut de craindre le COVID-19, comme le rapporte Télé-Loisirs. Pour rappel, le journaliste a vaincu un cancer de la prostate.
J’ai 70 ans maintenant, j’ai eu peur bien évidemment de la maladie, et avec Thierry Thuillier, Thierry m’a dit ‘on va te mettre à l’abri chez toi, on va te mettre un studio chez toi’ il a eu cette idée super ce qui m’a permis de rester à l’antenne, avec Jacques Legros ici donc oui j’ai eu peur du COVID et le confinement a été une période de trois mois très longue chez moi où avec ma femme on a beaucoup discuté de la suite.
Jean-Pierre Pernaut a notamment expliqué avoir été convaincu qu’en cas de contamination, sa vie allait se terminer.
Le COVID, j’ai fait attention, on s’est enfermés complètement et avec ce contact quotidien avec les téléspectateurs, donc j’étais le journaliste encore plus proche des gens que d’habitude parce que je vivais la même chose qu’eux, certes avec un jardin, mais j’ai vécu ce confinement de l’intérieur et je le racontais un peu tous les jours et je comprenais les gens qui en avaient ras le bol de tourner en rond chez eux