Grenoble : cet homme suspecté d’avoir tué un jeune est activement recherché
Dans la nuit de vendredi à samedi à Grenoble, un homme de 24 ans est tué d’un coup de couteau. La police diffuse la photo d’un suspect.
La Sûreté Publique lance un appel à témoins et diffuse une photo d’un homme. Ce dernier est suspecté d’être l’auteur du coup de couteau qui a tué un jeune âgé de 24 ans devant une discothèque de Grenoble. Selon France 3 Alpes, cet individu serait métis et mesurerait environ 2 mètres. Le cliché est issu des images de vidéosurveillance et la victime était en compagnie de deux autres personnes, qui apparaissent sous l’emprise de l’alcool. Ils ont été blessés au visage et transportés après la bagarre à l’hôpital.
Profil du suspect
La victime était originaire de la Vienne, mais elle vivait à Grenoble. Selon les premiers éléments de l’enquête, elle a reçu un coup de couteau entre les côtes vers 3 heures du matin. Le directeur départemental adjoint de la sécurité publique, Yannick Blouin a précisé au journal qu’il ne s’agissait « pas d’un affrontement entre bandes rivales […] Pour l’instant, le mobile est un point d’interrogation ». L’auteur du coup de couteau serait âgé d’une vingtaine d’années et il est activement recherché par les forces de l’ordre. Il pourrait s’agir de l’homme visible sur la photo et les personnes qui sont susceptibles d’avoir des informations sont invitées à joindre au plus vite le 04.76.60.40.40.
Arrêter au plus vite le meurtrier
Ce samedi, les images de vidéosurveillance ont donc été observées avec rigueur. Elles provenaient des discothèques de Grenoble et des bars se trouvant à proximité du lieu du crime. De nombreux témoignages ont également été référencés. C’est donc la sûreté départementale de l’Isère qui est en charge de l’affaire et le parquet n’a pas l’intention de communiquer sur ce dossier avant lundi. Du côté de la mairie, l’élu PS de la ville, Michel Destot a précisé qu’il condamnait « avec la plus grande fermeté cet acte odieux et gratuit ». Yannick Blouin révèle que les équipes travaillent « d’arrache-pied pour arrêter l’auteur le plus rapidement possible et le mettre hors d’état de nuire » selon l’AFP.