France 5 : Olivier Delacroix sur son magazine Ils font bouger les lignes : “Etre en prime fait que je peux traiter des sujets plus forts”
Hier soir, le journaliste Olivier Delacroix présentait le second numéro de son magazine 'Ils font bouger les lignes'. Interviewé par Télé-Loisirs il a évoqué ce nouveau rendez-vous.
Pour son nouveau volet de la série documentaire d’Olivier Delacroix, “Ils font bouger les lignes”, le présentateur de France 5 a rassemblé hier soir en prime 487.000 téléspectateurs. Le sujet sur les violences conjugales est en hausse comparé au premier numéro du 6 octobre (476.000 téléspectateurs). Celui qui présente également sur Europe 1 l’émission ‘Libre antenne’ est connu pour présenter également sur France 2 son magazine de témoignages ‘Dans les yeux d’Olivier’. Sur ce nouveau sujet sur la violence faite aux femmes, Olivier Delacroix prévient : “Moi, je ne suis pas là pour plaire, mais pour choquer et faire avancer les mentalités. Notre positionnement est beaucoup plus militant. J’aime prendre une position franche. Ça m’a valu quelques déconvenues notamment sur le premier volet consacré à l’homoparentalité. Ce que je veux avant tout c’est faire avancer la réflexion sur un sujet important“, assure le confident des Français.
Je n’ai aucune prétention d’être psy
Celui qui ne se définit absolument pas comme un psy, dit se positionner davantage comme le bon copain à l’écoute, et avoir ce nouveau programme en prime est une aubaine : “A travers cette émission, je veux montrer les ressources cachées de chacun, montrer qu’ils ont été capables de déployer des stratégies pour s’en sortir après un drame. Ces héros des temps modernes ont vécu quelque chose de terrible mais ils ont fait des choses pour s’en sortir et pour transmettre aux autres, pour les aider à leur tour. C’est pour ça que je suis attaché à cette nouvelle émission. Etre en prime fait que je suis forcément plus exposé mais surtout que je peux traiter des sujets plus forts. J’ai par ailleurs conscience que je m’insère dans une concurrence plus âpre que tard le soir“, analyse Olivier Delacroix.