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Eure-et-Loir : 6 mois avec sursis pour un anesthésiste jugé responsable de la mort d’un enfant de 2 ans

Société > Justice > Hôpital > Eure-et-Loir
Par Gael Brulin,  publié le 21 décembre 2017 à 9h45.

Lundi dans l'Eure-et-Loir, un médecin-anesthésiste de Mainvilliers a été condamné à six mois de prison avec sursis et 8.000 euros d'amende pour sa responsabilité dans la mort d'un enfant de 2 ans en 2011.

Un médecin-anesthésiste qui officiait dans la clinique Saint Français à Mainvilliers, dans l’Eure-et-Loir, a été reconnu lundi responsable de la mort d’un enfant de 2 ans en 2011. Il a par conséquent été condamné à six mois de prison avec sursis et 8.000 euros d’amende.

Après le décès du bébé dans cette même clinique, les parents de l’enfant portent plainte contre l’anesthésiste, estimant ainsi que ce dernier n’a pas fait montre d’une vigilance suffisante après le réveil du garçonnet. Lequel venait de subir une opération sous anesthésie générale, précise France 3 Centre-Val de Loire.

Condamné pour la mort d’un bébé en 2011, mais toujours autorisé à exercer

Le dépôt de plainte n’est pas la seule démarche initiée par ces parents, qui vont ainsi également saisir l’Ordre des médecins. Après examen du dossier, celui-ci prononce auprès de l’anesthésiste une interdiction d’exercer pour une durée d’un an.

Sa sanction pénale lui a donc été signifiée lundi par le tribunal correctionnel de Chartres. Mais comme le fait comprendre le verdict rendu, ce médecin n’est pas défendu de reprendre son activité professionnelle.

Pas la première mise en cause de la clinique

L’avocat de la partie civile, Me Guillaume Fallourd, reconnaît une condamnation éventuellement peu marquante mais néanmoins satisfaisante aux yeux des parents : “Nécessairement, en bout de course, les parents attendent une réponse, et une condamnation. Et je répète, quelle qu’elle soit. Elle a été ce qu’elle est, elle peut paraître un peu légère mais non, elle ne l’est pas pour les parents. Ils ont souhaité avoir cette réponse, ils l’ont eue.”

Si ce médecin-anesthésiste n’exerce désormais plus au sein de la clinique Saint François, qui s’est séparée de lui il y a maintenant plus d’un an après avoir déjà été mise en cause dans au moins une affaire semblable, il a depuis retrouvé du travail dans le même domaine à Orléans.

Le Récap
  • Condamné pour la mort d’un bébé en 2011, mais toujours autorisé à exercer
  • Pas la première mise en cause de la clinique
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