Drôme : plusieurs milliers de capsules Nespresso dérobées dans un entrepôt
Des milliers de capsules de la marque Nespresso ont été récemment dérobées dans un entrepôt de la Drôme. Le préjudice pourrait s'élever à plusieurs milliers d'euros.
C’est un vol a priori peu commun qui a été opéré ces derniers jours au sein de la commune de Saulce-sur-Rhône, dans la Drôme. Plusieurs milliers de capsules de la marque Nespresso ont ainsi été dérobées dans un entrepôt logistique. La datation des faits n’a semble-t-il pas encore été établie, tout juste sait-on que le vol a été découvert lundi après-midi.
Le cambriolage a ensuite été confirmé mardi par la gendarmerie. Pour procéder, nous rapportent nos confrères de France Bleu Drôme-Ardèche, les malfaiteurs sont d’abord entrés par le toit de l’entrepôt, avant de s’emparer et de repartir avec des dizaines de cartons renfermant eux-mêmes dix dosettes chacun.
Capsules Nespresso volées : des milliers d’euros dans la nature ?
On ignore aux dernières nouvelles l’estimation du préjudice représenté par le vol, possiblement pour ne pas le rendre particulièrement sexy. Il pourrait néanmoins s’élever à plusieurs milliers d’euros. Les gendarmes, à qui a été confiée l’enquête, ont déclaré qu’“il s’agit d’un produit à haute valeur ajoutée”.
Des faits plus ou moins semblables s’étaient produits en fin d’année dernière à Cran-Gevrier, en Haute-Savoie. Des clients de La Poste avaient ainsi exprimé leur mécontentement quant à la non réception de capsules préalablement commandées.
Un précédent en Haute-Savoie
Il avait alors fallu, pour tenter d’y voir plus clair dans cette affaire, que le chef de la sécurité du centre de tri postal de la ville effectue des comparaisons entre les dates des disparitions et les emplois du temps des salariés et sous-traitants en charge des livraisons de colis. Il s’avèrera que c’était un employé d’une société sous-traitante qui était à l’origine de ces colis non reçus.
L’homme aura reconnu le vol de pas moins de 143 colis, dont la revente lui avait fait gagner 5.000 euros. C’est d’ailleurs grâce à cet argent qu’il avait ensuite pu s’envoler pour la Thaïlande.