Donald Trump surprend face aux révélations choc de son ex-cheffe de cabinet sur « l’alcoolisme »

Image d'illustration. Splendeur nocturne de la maison blancheADN
Donald Trump a vivement réagi après que son ancienne cheffe de cabinet a évoqué des comportements liés à l’alcoolisme le concernant. Cette déclaration inattendue suscite de nombreuses interrogations autour de la personnalité de l’ex-président américain.
Tl;dr
- Susie Wiles juge Trump « personnalité d’alcoolique ».
- Trump assume des traits « possessifs et vulnérables à l’addiction ».
- Wiles reste soutenue malgré ses propos polémiques.
Une confidence explosive qui fait trembler Washington
Dans une révélation inattendue, Susie Wiles, cheffe de cabinet du président américain, a affirmé dans les colonnes de Vanity Fair que Donald Trump possède la « personnalité d’un alcoolique ». Une déclaration choc qui, publiée le 15 septembre, a aussitôt secoué le premier cercle du pouvoir.
Loin de se désolidariser, le principal intéressé a réagi dans le New York Post, reconnaissant à demi-mot : « une personnalité de type possessif et vulnérable à l’addiction ».
L’ombre d’une addiction sans substance
Fait étonnant, Donald Trump n’a jamais touché à l’alcool. Pourtant, il confesse au média new-yorkais : « Si je buvais, j’aurais de très fortes chances d’être alcoolique ». Cette introspection intervient alors même que sa fidèle cheffe de cabinet se dit experte en la matière – son père ayant souffert d’un grave alcoolisme – et analyse ce trait chez Trump comme la marque d’un homme persuadé que « rien ne lui est impossible. Rien, zéro, rien ».
À l’en croire, cette facette expliquerait pourquoi le président multiplie les provocations autour d’une hypothétique candidature en 2028 – un scénario qu’elle juge néanmoins improbable.
Derrière la discrétion de la “dame de glace”
Peu connue du grand public malgré son rôle stratégique – équivalent au secrétaire général de l’Élysée –, Susie Wiles, 67 ans, s’impose comme un pilier discret mais influent de la Maison Blanche.
Surnommée la « dame de glace » pour son flegme face aux turbulences politiques, elle cumule une expérience précieuse acquise dès les années Reagan et rejoignait déjà Trump lors de sa première campagne en 2016. Sa longévité à ce poste n’est pas anodine : quatre chefs de cabinet avaient défilé lors du premier mandat présidentiel.
Soutiens affichés et critiques feutrées
L’article retentissant n’a pas entamé le crédit dont jouit Susie Wiles. Plusieurs voix majeures se sont empressées d’exprimer leur soutien public ; la porte-parole de la Maison Blanche a notamment salué en elle la conseillère la plus loyale du président. Même le vice-président JD Vance, bien qu’égratigné dans l’interview pour son revirement politique jugé « un peu plus politicien », a déclaré lors d’un meeting : « Je ne l’ai jamais vue être déloyale ».
En définitive, malgré des propos qui auraient pu fragiliser sa position, Susie Wiles continue d’incarner ce rôle discret mais essentiel au sein du pouvoir américain — gardant ainsi toute sa place auprès d’un Donald Trump fidèle à lui-même.