Côte-d’Or : deux hommes écroués pour avoir agressé et violé une sexagénaire
Deux hommes de 17 et 19 ans ont été écroués lundi pour avoir, jeudi dernier en Côte-d'Or, agressé et violé une sexagénaire à son domicile. Les suspects auraient agi dans le contexte d'une dette de stupéfiants.
Les faits se sont produits le jeudi 9 juillet dernier à Auxonne, en Côte-d’Or. Dans la matinée, écrit Le Bien Public (article complet réservé aux abonnés), deux individus se sont introduits au domicile d’une femme d’une soixantaine d’années. Cette dernière, se déplaçant en fauteuil roulant en raison d’un handicap physique, s’est retrouvée face à ces intrus, qui lui ont demandé de lui remettre de l’argent.
Sexagénaire agressée et violée chez elle : une dette de stupéfiants à l’origine des faits
Suite au refus de la sexagénaire d’accéder à la requête des deux agresseurs, ces derniers l’auraient violentée. Son appartement aurait de même été fouillé de fond en comble. Le duo a quitté les lieux après que l’un deux individus aurait violé la victime. Une source proche de l’affaire indique que les agresseurs auraient agi pour une dette de stupéfiants qu’ils cherchaient visiblement à rembourser.
Deux suspects interpellés deux jours plus tard
Les faits signalés auprès des autorités, une enquête a été ouverte et confiée à la Brigade de recherches de la gendarmerie de Dijon. Deux mis en cause de 17 et 19 ans ont été identifiés et interpellés samedi matin à leur domicile. Placés en garde à vue, ils ont ensuite été déférés devant un juge d’instruction lundi matin. Tous deux ont été mis en examen pour “tentative d’extorsion avec arme”, “dégradation aggravée” et “vol aggravé”, l’un des suspects étant de plus accusé de “viol sur personne vulnérable”. L’un comme l’autre ont été placés en détention provisoire.
- Loire-Atlantique : Deux amis condamnés pour les viols de poneys et de chevaux
- Critiquée pour la somme qu’elle demanderait pour son divorce, l’ex d’Achraf Hakimi lance : “Au début notre relation, il ne gagnait pas d’argent”
- Étude : seuls 46% des étudiants se sentent “tout à fait en sécurité” dans leur établissement