Christian Clavier regrette de ne jamais avoir joué avec Jean-Paul Belmondo et Lino Ventura
Sur le plateau de Touche pas à mon poste, Christian Clavier a partagé sa peine suite à la disparition de Jean-Paul Belmondo.
C’est la triste nouvelle de la semaine. La disparition de Jean-Paul Belmondo, dit « Bébel », géant du cinéma mondial. L’acteur révélé par A bout de souffle de Jean-Luc Godard n’a cessé de briller sur grand écran pendant des décennies. Un artiste sympathique, apprécié de tous, et de nombreux hommages ces dernières heures. Après Alain Delon et son vibrant hommage à Jean-Paul Belmondo, Christian Clavier a pris la parole sur le plateau de Touche pas à mon poste. Le célèbre Visiteur regrette de ne jamais avoir joué avec « Bébel » mais aussi Lino Ventura.
Christian Clavier s’exprime dans Touche pas à mon poste suite à la disparition de Jean-Paul Belmondo
Cyril Hanouna a plusieurs fois rappelé que Jean-Paul Belmondo appréciait beaucoup regarder Touche pas à mon poste. Et c’est sur le plateau de l’émission que Christian Clavier s’est exprimé, regrettant de ne pas avoir tourné avec Lino Ventura et « Bébel ». L’acteur a croisé Le Professionnel pour la dernière fois « il y a deux ans, dans un restaurant dans le 7ème » et « en Corse quand j’étais en Corse ».
Christian Clavier rappelle que « même après son AVC, ce qu’il irradiait, était une chose absolument unique ». Le Visiteur parle d’un « choc énorme, on a vraiment eu le sentiment qu’il faisait partie de notre famille, extraordinairement sympathique, talentueux » et pense qu’aujourd’hui, de telles stars n’existent plus. L’homme parle de Jean-Paul Belmondo comme quelqu’un « à la fois humble et très sincère avec le public ».
« C’est un acteur de théâtre » rappelle Christian Clavier. « C’est quelqu’un qui ne te donnait pas du tout de leçons et qui faisait son métier génialement », précise-t-il en ajoutant avoir « été catastrophé et c’est un homme qu’on aime beaucoup, que j’ai beaucoup aimé ».
Un hommage salué par les chroniqueurs présents, s’étant tous exprimés suite à la mort inattendue de « Bébel ». Un monument majeur du cinéma français, adulé dans le monde entier.