Carla Bruni a dû s’isoler pendant le mandat de Nicolas Sarkozy

De nouvelles confidences de l'ex-première dame de France.

En se mariant avec Nicolas Sarkozy pendant son mandat, Carla Bruni est devenue la première dame de France. Un rôle très lourd à porter sur lequel est revenue l’artiste, lors d’une interview pour Vogue Paris et relayée par Pure People. Après avoir expliqué dans Quotidien avoir eu peur pour la vie de son mari lors de son mandat, l’actrice et chanteuse a évoqué l’isolement provoqué par sa place. Et d’un monde impitoyable.

Carla Bruni ne veut pas que Nicolas Sarkozy soit de nouveau président

Alors que les rumeurs évoquent régulièrement un retour de Nicolas Sarkozy en politique, Carla Bruni ne souhaite pas que ce dernier soit de nouveau président. De sa période en tant que première dame, l’artiste est passée « en mode isolement« . Comme exemple d’une position difficile, Carla Bruni explique que, « parfois, je croisais des gens qui me demandaient « ça va ? », et je comprenais qu’il devait y avoir un truc méchant dans les médias contre mon mari ou moi« . L’épouse de Nicolas Sarkozy reconnaît ne lui avoir rien dit à ce propos, et préférait lui dire « elle est bonne, la sauce tomate ? » ou « alors, une petite saison de 24H ?« .

Carla Bruni livre également son regard sur le monde de la politique, « ceux qui sont assoiffés de pouvoir partent en vrille, ça aide à faire le tri. Être président, c’est avoir le pouvoir politique, le pouvoir institutionnel, et comme, observatrice au côté de mon mari, ça a été stupéfiant. Président, on a en main le pouvoir de faire des choses, sauf qu’on se bat contre des forces contraires, des forces qui paralysent, qu’on ne peut même pas imaginer. C’est passionnant pour quelqu’un comme mon homme qui est très combatif, qui aime la conquête, mais pas seulement, qui aime l’action, qui aime faire, construire »

Malgré tout, Carla Bruni garde un bon souvenir en tant que première dame, expliquant qu’il s’agissait d’un « moment passionnant pour qui vient d’un milieu éloigné de la politique« , permettant de rencontrer « une somme de gens incroyables« , et vivant « à un rythme très soutenu« .