44 % des PME françaises jugent les réseaux sociaux incontournables
A l’ère du numérique, les TPE PME sont conscientes de la nécessité d’être présentes en ligne.
Une étude de GetApp (vente de logiciels) montre que 91 % des PME françaises jugent qu’il est important d’être présent sur les réseaux sociaux et 44 % que c’est nécessaire pour maintenir leur activité.
62 % des entreprises investissent moins de 300 euros par an pour une présence sur Internet
Cependant, les budgets pour la présence sur internet restent globalement très faibles puisque 62 % des entreprises investissent moins de 300 euros par an pour une présence sur Internet (source France Num), 24 % entre 300 euros et 1000 € par an ; 10 % entre 1000 et 5000 euros et enfin 4 % plus de 5000 euros par an. Quant au temps investi dans l’amélioration de la présence en ligne, il est très différent suivant la taille de l’entreprise : 46 % des TPE PME y consacrent 1h par jour ; 33 %, 1h par semaine ; 16 % ,1h par mois et 6 % seulement 1h par an.
Les Français passent 1h46 quotidiennement sur les réseaux sociaux
N’oublions pas qu’en moyenne les Français passent 1h46 quotidiennement sur les réseaux sociaux, ce qui reste une aubaine pour les entreprises qui peuvent également compter sur une audience de 52,6 millions d’utilisateurs en France, soit 80 % de la population.
En France, 78 % des structures ayant 5 à 10 ans d’existence et 43 % de celles créées il y a plus d’une décennie utilisent les réseaux sociaux depuis 6 mois à 3 ans. En ce qui concerne les petites et moyennes entreprises fondées entre 2017 et 2019, 76 % y ont recours depuis 6 à 24 mois seulement.
Les PME les plus récentes ont tendance à se mettre plus rapidement aux réseaux sociaux
Les PME les plus récentes ont tendance à se mettre plus rapidement aux réseaux sociaux. En effet, 67 % de celles ayant moins d’un an d’existence ont assuré leur présence sur ces plateformes il y a moins de 6 mois. Enfin, 48 % des PME peaufinent leur stratégie sur les médias sociaux. Seules 9 % des petites et moyennes entreprises interrogées n’ont pas de stratégie établie. Parmi ces dernières, 3 % ne désirent pas en concevoir quand 6 % prévoient de se pencher sur la question.