Zinédine Zidane aspire à entraîner les Bleus, mais son tour n’est pas encore venu

Zinédine Zidane a réaffirmé son désir de prendre un jour la tête de l’équipe de France, expliquant son impatience à occuper ce poste prestigieux, tout en reconnaissant que cette opportunité ne devrait pas se concrétiser dans l’immédiat.

Zidane, l’héritage attendu pour les Bleus

Au fil des mois, la perspective d’un passage de témoin à la tête de l’équipe de France se précise. Alors que Didier Deschamps a annoncé son départ prévu pour l’été 2026, après la Coupe du monde organisée aux États-Unis, au Canada et au Mexique, la succession semble naturellement pointer vers une figure emblématique : Zinédine Zidane. L’ancien N.10, devenu symbole du football tricolore, n’a jamais vraiment caché ses ambitions.

Légitimité affirmée et impatience affichée

Ce lundi, lors d’un événement mené par son équipementier, l’ex-capitaine des Bleus a partagé un sentiment sans équivoque devant les invités d’Adidas. Dans ses mots : « Je me sens légitime en équipe de France où j’ai joué et passé pratiquement 12, 13, 14 ans comme joueur. Bien sûr, c’est un rêve, j’ai hâte ».

Si Adidas, sollicitée par l’AFP, n’a pas confirmé ces propos dans l’immédiat, le message est clair : Zidane s’imagine plus que jamais à la tête des Bleus.

Un rêve ancien qui s’inscrit dans la continuité

Ce n’est pas la première fois que le nom de Zidane revient avec insistance dans les débats sur la succession de Deschamps. Dès 2022 déjà, il confiait à L’Équipe : « Avec les Bleus, ce n’est pas fini. J’en ai envie, bien sûr. Je le serai (sélectionneur), je l’espère, un jour. J’ai envie de boucler la boucle avec l’équipe de France ».

Libre depuis la fin de sa deuxième expérience au sein du Real Madrid en 2021, « Zizou » laisse planer le mystère sur sa prochaine étape mais ne dissimule ni sa volonté ni son impatience.

L’appui discret du vestiaire tricolore

Il faut également rappeler que même au sein du staff actuel des Bleus – notamment du côté de Deschamps lui-même – l’hypothèse d’un passage de relais ne fait plus débat. En février 2025 déjà, l’actuel sélectionneur validait publiquement cette option lors d’un entretien accordé à un quotidien sportif. Autant d’indices qui dessinent peu à peu une évidence pour les supporters comme pour les observateurs avertis.

Pour résumer :

• Zidane, symbole du foot français moderne.
• Soutien discret mais réel autour d’une succession annoncée.
• Mondial 2026, point charnière pour les Bleus.