Yvelines : Florent Pagny braqué par de faux policiers
Dans la nuit de samedi à dimanche dans les Yvelines, Florent Pagny a été victime de faux policiers qui lui ont ainsi dérobé sa Porsche. Le chanteur n'a pas été blessé.
Dans le texte de sa chanson Ma liberté de penser, Florent Pagny invitait les huissiers à se saisir de nombre de ses possessions matérielles, ainsi rassuré par le fait qu’il serait impossible de lui retirer sa faculté à méditer. Près de quinze ans après la sortie de ce titre, le chanteur s’est vu contraint à céder sa voiture, et ce dans une réalité point fictive.
Nos confrères du Parisien, qui rapportent l’information, indiquent que Florent Pagny s’est fait braquer dans la nuit de samedi à dimanche dans la commune de Montfort-L’Amaury (Yvelines). L’artiste évoluait non loin de chez lui à bord de sa Porsche 911 Turbo, lorsque deux hommes en voiture blanche lui ont demandé de s’arrêter.
Florent Pagny trompé par de faux policiers pas en uniforme
Florent Pagny s’est exécuté, le véhicule de ses interlocuteurs, équipé d’un gyrophare au niveau du toit, lui ayant ainsi fait comprendre qu’il se trouvait apparemment en présence de policiers. Les deux individus sont descendus de leur voiture avant de sortir un pistolet pour menacer leur victime, révélant par la même occasion leurs réelles intentions au chanteur.
Une source proche du dossier a précisé que les deux hommes n’étaient pas en uniforme, un détail qui n’a vraisemblablement pas été relevé par Florent Pagny, ou alors trop tardivement pour empêcher ses futurs braqueurs d’agir.
La Porsche du chanteur volée
Si Florent Pagny est ressorti de cette agression sans blessures physiques, les faux policiers sont en revanche repartis avec sa Porsche. Une enquête a été ouverte afin de retrouver les malfaiteurs et l’objet de leur délit. Des recherches confiées aux gendarmes de la brigade de recherches de Rambouillet.
Le mois dernier, le chanteur avait publiquement apporté son soutien à Calogero, condamné pour plagiat avec son titre Si seulement je pouvais lui manquer. Pour l’interprète d’Et un jour, une femme, “c’est des c…eries, y a pas de plagiat. Parce qu’à un moment, la musique, c’est pas parce que t’as enchaîné trois accords que d’un seul coup, t’as été pompé la musique. Non, tout est là”.