Trump pointe Biden et Harris du doigt après une tentative d’assassinat présumée
L'ancien président américain a affirmé que le suspect était sous l'influence du discours de Biden et Harris. Celui-ci a par ailleurs été accusé de détention illicite d'arme. Mais qu'est-ce qui a réellement motivé ses actions ?
TL;DR
- Donald Trump accuse Biden et Harris suite à une tentative d’assassinat.
- Le suspect est un Américain pro-ukrainien inculpé pour détention illégale d’arme.
- La campagne électorale américaine est marquée par la violence et la tension.
Assassinat de Trump : Biden et Harris pointés du doigt
L’ancien président américain, Donald Trump, a récemment subi une tentative d’assassinat. Il attribue cette attaque directement au président sortant Joe Biden et à la vice-présidente Kamala Harris. Selon lui, le suspect « adhérait au discours de Biden et Harris, et a agi en conséquence« .
Un suspect pro-ukrainien inculpé
L’homme en question, Ryan Wesley Routh, est un Américain pro-ukrainien de 58 ans. Il a été inculpé pour détention illégale d’arme en raison de son casier judiciaire et de possession d’une arme au numéro de série effacé. Le ministre de la Justice, Merrick Garland, a affirmé que ses services dédieraient « tous les moyens disponibles » à cette enquête.
Une campagne électorale sous haute tension
La campagne électorale américaine se poursuit dans un climat de violence, plus de deux mois après une première tentative d’assassinat contre le candidat républicain. La tension est palpable et l’atmosphère politique et sociale est extrêmement tendue.
Le président démocrate, Joe Biden, a appelé à régler les différends entre Américains « de manière pacifique dans les urnes, pas sous la menace d’un fusil ».
Des mesures de sécurité renforcées
Suite à ces tentatives d’assassinat, Joe Biden a réclamé davantage d’aide pour le Secret Service, la police d’élite chargée de la protection des personnalités politiques. Il a appelé le Congrès à débloquer des moyens supplémentaires.
Le shérif du comté de Palm Beach (Floride), Ric Bradshaw, a précisé que le dispositif de sécurité serait limité aux endroits choisis par le Secret Service.