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Téléphones portables à l’hôpital : l’ANSES souhaite un usage restreint

Santé > Hôpital
Par Gael Brulin,  publié le 17 juin 2016 à 11h10.

Afin de permettre aux dispositif médicaux en place de ne pas être perturbés par des radiofréquences, l'ANSES appelle à un usage limité des téléphones portables dans les hôpitaux.

Cela fait depuis maintenant de nombreuses années que l’on connaît les conséquences néfastes d’un usage de téléphones portables à l’hôpital. Une circulaire datant de 1995 appelle ainsi les établissements de soin à délivrer à leur personnel ainsi qu’à leurs patients l’information selon laquelle les portables doivent être éteints dès que possible en milieu hospitalier sous peine d’interférences avec les dispositifs médicaux en place.

Malgré tout, comme le rapportent nos confrères de Pourquoi Docteur ?, le recours de plus en plus prononcé dans la société aux téléphones portables et aux smartphones s’est également observé dans les hôpitaux. Et ce tout aussi bien auprès des patients et de leurs familles que des professionnels de santé eux-mêmes.

L’ANSES sollicité pour évaluer les dangers des radiofréquences à l’hôpital

Un contexte difficile ayant motivé les ministres de la Santé et de l’Environnement, Marisol Touraine et Ségolène Royal, à solliciter l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) afin “d’évaluer les risques potentiels de perturbation électromagnétique des dispositifs médicaux exposés à des radiofréquences.”

Lundi, l’ANSES a publié un avis dans lequel elle recommande “la mise en place de zones d’usage autorisé, limité ou interdit, au vu de la diversité des situations d’usages des systèmes de communication sans-fil et des risques auxquels ils peuvent conduire”.

“Une règle unique” impossible à établir

L’agence demande de même “aux porteurs de dispositifs médicaux implantables actifs (pacemaker, neurostimulateur, etc.) de veiller à éloigner les sources d’exposition les plus fortes (téléphones mobiles)”. Tout en signifiant que, “compte tenu de l’extrême diversité à la fois des sources de champ électromagnétique (caractéristiques fréquentielles, de puissance, de signaux, etc.) et des dispositifs médicaux électroniques, mais aussi des situations d’exposition des dispositifs médicaux, il n’est pas possible de définir une règle unique concernant une distance minimale à respecter entre les dispositifs médicaux et les sources électromagnétiques, applicable à toutes les situations.”

Le Récap
  • L’ANSES sollicité pour évaluer les dangers des radiofréquences à l’hôpital
  • “Une règle unique” impossible à établir
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