STILL la vie de Michael J. Fox sur Apple TV+ : l’acteur a pris sa retraite en pensant à cette scène

Michael J. Fox, dont le parcours vient d'être raconté dans un documentaire sur Apple TV+, raconte comment il a décidé de prendre sa retraite : en pensant à une scène d'un certain film.

Le parcours de Michael J. Fox apparaît unique. Propulsé star du grand écran avant de se révéler une pointure des petites boites, l’acteur a vu progresser la maladie de Parkinson assez tôt dans sa vie. Pour ainsi dire invisible aux yeux du grand public, l’affection a de plus en plus pris ses aises, au point de contraindre l’artiste à se retirer du métier.

STILL la vie de Michael J. Fox : 29 ans, l’âge où tout a basculé

Dans STILL : la vie de Michael J. Fox, un documentaire sur la vie de l’acteur et que l’on peut retrouver sur Apple TV+ depuis le 12 mai dernier, c’est un parcours hors norme qui est narré. C’est à l’âge de 29 ans que Michael J. Fox a appris qu’il était atteint de la maladie de Parkinson. Et alors qu’on commençait déjà à lui prédire une existence sensiblement réduite, l’acteur a repoussé les limites jusqu’à atteindre, aujourd’hui, la soixantaine.

L’influence de Once Upon a Time in Hollywood

C’est finalement assez récemment, en 2020, que Michael J. Fox avait décidé de prendre sa retraite. À l’occasion d’une entrevue avec Empire Magazine, avec des propos rapportés par Deadline, l’interprète, entre autres, de Mike Flaherty a raconté comment ce choix lui était venu : “J’ai pensé à Once Upon a Time… in Hollywood. Il y a une scène où le personnage de Leonardo DiCaprio ne se souvient plus de son texte. Il retourne dans sa loge et se crie dessus dans le miroir. C’est complètement fou. J’ai eu ce moment où je me suis regardé dans le miroir et je me suis dit : ‘Je n’arrive plus à m’en souvenir'”. L’acteur fait ici référence au texte qu’il devait retenir pour la série The Good Fight.

Le choix de la retraite : “Ça a été paisible”

Et Michael J. Fox d’ajouter qu’en pensant à cette scène précise, il lui a été plutôt facile de passer “à autre chose”, reconnaissant que ce moment avait été “paisible” pour lui. Une sérénité qui est certainement le meilleur souhait qu’on puisse lui adresser pour la suite.