Savoie : le corps sans vie d’une femme découvert dans une voiture
Samedi matin en Savoie, le corps sans vie d'une femme a été découvert dans une voiture. C'est son apparent compagnon qui a alerté les secours après avoir tenté de se suicider.
La mort pourrait avoir été causée le même jour. Samedi matin à Saint-Alban-Leysse (Savoie), le corps sans vie d’une femme a été découvert dans une voiture, stationnée sur un parking. Il était aux alentours de 8h30 lorsque son apparent compagnon a alerté les secours.
Nos confrères de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, qui relatent l’information, indiquent que cet homme de 34 ans avait tenté, plus tôt, de mettre fin à ses jours. Les pompiers ont fait savoir qu’il a été retrouvé “gravement blessé au cou” dans un appartement, possiblement le sien.
Sa compagne retrouvée morte, il survit à une tentative de suicide
La voiture dans laquelle se trouvait sa compagne supposée, elle aussi âgée de 34 ans, était quant à elle localisée à une trentaine de mètres des lieux où le trentenaire a été retrouvé. Bien qu’ayant été admis à l’hôpital avec un pronostic vital, les efforts des médecins ont pu permettre à l’homme de ne plus courir le moindre danger au niveau de ses organes.
Son état ne semble toutefois pas encore suffisamment satisfaisant pour l’autoriser à répondre aux sollicitations des enquêteurs, le parquet de Chambéry ayant ainsi fait savoir que l’homme n’a pas encore fait l’objet d’une audition de la part des autorités.
Une possible altercation à l’origine du décès
Les investigations débutent tout juste pour parvenir à établir les circonstances exactes des faits. Pour l’heure, peu d’éléments apparaissent avoir été rassemblés dans ce but, et les résultats de l’autopsie de la victime prévue pour lundi feront vraisemblablement progresser les recherches de manière sensible.
Si cette piste appelle à être confirmée, il semblerait qu’une altercation entre l’homme et la femme soit à l’origine du décès de cette dernière. Involontairement ou non, le trentenaire aurait mis fin aux jours de sa compagne avant d’essayer de faire de même sur sa propre personne, éventuellement poussé dans son geste par le choc du premier drame.