Salma Hayek affirme qu’une affaire accusant Donald Trump de viol sur mineure a été étouffée
L'actrice mexicano-libano-américaine Salma Hayek vient de déclarer dans la presse que l'actuel président des États-Unis Donald Trump était directement concerné dans une affaire de viol sur mineure, avant que celle-ci ne soit rapidement "étouffée".
Déceler un point positif dans l’actualité récente de Donald Trump semble équivaloir à partir à la recherche d’une aiguille enfouie dans une botte de foin. Ses propos sulfureux vis-à-vis de la Corée du Nord, son imprudence face à la récente éclipse solaire totale, des faits ayant assombri un peu plus, aux niveaux local et international, l’image de l’actuel président des États-Unis.
La liste s’est plus récemment allongée suite à des propos émis par l’actrice mexicano-libano-américaine Salma Hayek dans le numéro de septembre du magazine Numéro. Le site Pure People rapporte les principales déclarations interpellantes émises au sujet de Donald Trump.
Trump aurait violé une fillette de 13 ans d’après un procès au civil
Salma Hayek déclare ainsi que le 45e président des États-Unis “était mêlé à près de 3.000 procès pour fraude, viol…” et que “selon un procès au civil, Trump aurait violé une fillette de 13 ans”. Elle ajoute que “cela faisait désordre en pleine campagne… L’affaire a donc vite été étouffée avant de disparaître complètement des radars lorsqu’il a été élu président. Je vous laisse mener l’enquête.”
Si l’actrice pourrait ici être accusée de diffamation, il est à rappeler que ce n’est pas la première fois que Donald Trump est cité dans ce genre d’affaires. Une plainte datée de juin 2013 et déposée par une femme d’une trentaine d’années expliquait ainsi que Donald Trump et l’investisseur fortuné Jeffrey Epstein l’auraient violée en 1994, quand elle n’était âgée que de 13 ans. Précisons que Jeffrey Epstein, entre autres organisateurs d’orgies, a déjà été condamné dans un dossier d’esclavagisme sexuel de mineures.
Une plainte déposée en 2013 et retirée en raison de menaces
L’affaire n’aura toutefois pas connu un plus fort retentissement, et ce parce que la plainte a finalement été retirée en raison des “nombreuses menaces” reçues par la plaignante selon son avocat. Reste maintenant à savoir si la sortie de Salma Hayek sera à même de faire ressurgir ces faits attribués à Donald Trump qui, d’après l’épouse de François-Henri Pinault, aurait déjà témoigné d’une attitude particulièrement entreprenante à son égard :
“Lors d’une soirée, il s’était mis mon petit-ami dans la poche pour lui soutirer mon numéro. Puis il n’a cessé de m’appeler pour qu’on aille prendre un verre ensemble. Ça ne s’est pas arrêté là, mais je préfère vous épargner les détails”.