PSG : Nasser Al-Khelaïfi menacé ? Doha fixe une condition
L'implication possible de Nasser Al-Khelaïfi dans l'affaire de "l'armée numérique" pourrait avoir raison de sa place de président du PSG.
Si les résultats du PSG sont loin d’être mauvais en ce début de saison, il n’aura pas fallu longtemps pour que le club retombe dans ses travers extrasportifs. Après la polémique sur les volontés de départ de Kylian Mbappé, c’est aujourd’hui l’affaire de « l’armée numérique » qui secoue le club.
Une affaire qui pourrait fragiliser la place de Nasser Al-Khelaïfi qui perdrait peu à peu la confiance des propriétaires qataris.
Nasser sur la sellette ?
Si l’incendie autour des volontés de départ de Kylian Mbappé a été éteint par le principal intéressé (dont on a peut-être forcé la main…), l’affaire sortie par Mediapart sur des soupçons de « ferme à trolls » destinée à salir la réputation de certains membres du club sur Twitter éclabousse désormais la tête du club.
Une implication quoi pourrait coûter cher
Une affaire qui vient s’ajouter aux polémiques du début de saison et qui passe très mal à Doha. À tel point que Nasser Al-Khelaïfi pourrait perdre sa place si son implication dans cette « armée numérique » venait à être prouvée selon l’Équipe. Une rumeur faisant état d’un émissaire qatari dépêché à Paris pour prendre le contrôle de la situation a été démentie, la place de NAK reste fragilisée.
Qui pour succéder à Nasser Al-Khelaïfi
Les jours à venir seront donc peut-être décisifs pour Doha et pourraient marquer un changement important à la tête du PSG même si pour l’instant, le président du PSG est conforté en haut lieu. Reste à savoir qui pourrait succéder à Al-Khelaïfi à la tête du club. La piste la plus probable serait celle d’un autre proche l’Émir Al-Thani même si le nom de Nicolas Sarkozy plane toujours au-dessus du parc des Princes.