PSG : Coup de frein dans le dossier Carlos Soler
Alors que le transfert du joueur du FC Valence était presque bouclé, les négociations auraient pris du plomb dans l'aile alors que le PSG a tenté de changer son offre au dernier moment.
Le mercato estival touche à sa fin et plus que jamais, le PSG s’active pour boucler les derniers dossiers ! Les dirigeants parisiens ont encore quelques joueurs dans le viseur et notamment Milan Skriniar, Fabian Ruiz ou encore Carlos Soler. Pour le joueur du FC Valence, tout semblait bien engagé et un accord était presque trouvé entre les deux clubs. Mais un dernier revirement du PSG pourrait stopper net les négociations.
Le PSG change les conditions pour Carlos Soler
Depuis quelques jours, les dirigeants du PSG et du FC Valence discutent donc activement pour le transfert du milieu de terrain espagnol de 25 ans Carlos Soler. Le transfert était quasiment bouclé et on évoquait une offre avoisinant les 20 millions d’euros pour le joueur des Murciélagos. Un accord verbal aurait été conclu.
Pourtant, le PSG aurait finalement formulé par écrit à Valence un prêt avec option d’achat au dernier moment, ce qui n’a pas vraiment plu aux dirigeants du club espagnol.
Valence veut un transfert sec
Selon la Cadena Ser, cette volte-face des équipes de Luis Campos a du mal à passer à Valence. Si le PSG veut bien s’engager sur un contrat de 5 ans, il souhaite que la première année du joueur soit sous la forme d’un prêt avec option d’achat, très certainement pour rester dans les clous du fair-play financier.
Le FC Valence ne l’entend pas de cette oreille et veut un transfert sec tout de suite avec un paiement immédiat de la somme de base, plus des bonus par la suite en fonction des performances du joueur.
Soler dans sa dernière année de contrat
Si le FC Valence se montre méfiant, c’est probablement parce que Carlos Soler est dans sa dernière année de contrat et pourra signer libre dans le club de son choix à la fin de la saison. C’est pour cela que le club veut récupérer de l’argent tout de suite et qu’il n’est pas question pour lui d’entendre parler d’un prêt.