Plus de 50% des Américains penseraient que les orages affectent la technologie « cloud »
Selon une étude, 51% des Américains penseraient que les épisodes météorologiques orageux affectent la technologie "cloud".
La technologue du « cloud », ou « sur le nuage », est encore très récente à l’échelle humaine. Pour la résumer, on peut dire qu’elle consiste à accéder à des services en ligne. Des plates-formes permettent par exemple de stocker des fichiers numériques sur des serveurs distants. Ces dernières années, cette technologie s’ancre progressivement dans le jeu vidéo en permettant, entre autres et à condition d’une condition stable et d’excellente qualité, de jouer à un titre sans disque ni données téléchargées.
Technologie « Cloud » et temps orageux : la génération Y penserait fort à un lien
Mais l’opinion publique sait-elle réellement ce qu’est la technologie « cloud » ? Pour le savoir, en août 2012, le prestataire Wakefield Research, spécialisé en études de marché, avait conduit une enquête auprès de plus de 1 000 Américains. Il était notamment apparu que pour 51% des sondés, les orages affectaient le « cloud », et ces répondants renfermaient une majorité de personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990 (génération Y, ou « milléniaux »).
Près d’une personne sur trois parle d’un futur, pourtant déjà accessible
Possiblement plus étonnant encore, près d’un tiers des personnes interrogées considéraient que le « cloud » était une technologie du futur, alors qu’au moment de l’étude, 97% des sondés utilisaient déjà des services « sur le nuage » : services bancaires, achats en ligne ou encore partages de fichiers.
59% pensent que le « cloud » sera le « lieu de travail de l’avenir »
Autre observation de cette enquête rapportée par Business Insider, 59% des répondants avaient indiqué qu’à leur sens, le « lieu de travail de l’avenir » sera le « cloud ». Ce qui peut expliquer que 22% des Américains sollicités dans ce sondage aient fait semblant de savoir ce qu’était cette technologie, sans doute par crainte de ne pas prendre le train en marche de l’évolution.