Plus de 50% des Américains penseraient que les orages affectent la technologie “cloud”

La foudre, lors d'un orage. Image d'illustration.Free-Photos / Pixabay
Selon une étude, 51% des Américains penseraient que les épisodes météorologiques orageux affectent la technologie "cloud".
La technologue du “cloud”, ou “sur le nuage”, est encore très récente à l’échelle humaine. Pour la résumer, on peut dire qu’elle consiste à accéder à des services en ligne. Des plates-formes permettent par exemple de stocker des fichiers numériques sur des serveurs distants. Ces dernières années, cette technologie s’ancre progressivement dans le jeu vidéo en permettant, entre autres et à condition d’une condition stable et d’excellente qualité, de jouer à un titre sans disque ni données téléchargées.
Technologie “Cloud” et temps orageux : la génération Y penserait fort à un lien
Mais l’opinion publique sait-elle réellement ce qu’est la technologie “cloud” ? Pour le savoir, en août 2012, le prestataire Wakefield Research, spécialisé en études de marché, avait conduit une enquête auprès de plus de 1 000 Américains. Il était notamment apparu que pour 51% des sondés, les orages affectaient le “cloud”, et ces répondants renfermaient une majorité de personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990 (génération Y, ou “milléniaux”).
Près d’une personne sur trois parle d’un futur, pourtant déjà accessible
Possiblement plus étonnant encore, près d’un tiers des personnes interrogées considéraient que le “cloud” était une technologie du futur, alors qu’au moment de l’étude, 97% des sondés utilisaient déjà des services “sur le nuage” : services bancaires, achats en ligne ou encore partages de fichiers.
59% pensent que le “cloud” sera le “lieu de travail de l’avenir”
Autre observation de cette enquête rapportée par Business Insider, 59% des répondants avaient indiqué qu’à leur sens, le “lieu de travail de l’avenir” sera le “cloud”. Ce qui peut expliquer que 22% des Américains sollicités dans ce sondage aient fait semblant de savoir ce qu’était cette technologie, sans doute par crainte de ne pas prendre le train en marche de l’évolution.