Nintendo Switch Online : un Zelda NES agrémenté d’un mode facile
Entre autres joyeusetés, le Nintendo Switch Online offre à ses abonnés des titres NES en location. Parmi eux, l'incontournable The Legend of Zelda. La version proposée diffère cependant des autres de par l'ajout d'un mode facile.
Depuis le 19 septembre dernier, il est obligatoire de disposer d’un abonnement au Nintendo Switch Online pour profiter du multijoueur en ligne de la console. Mais parce que Microsoft et Sony sont déjà passés par là, une souscription offre davantage qu’un accès à des parties avec des joueurs du monde entier.
À la manière de ses concurrents, Nintendo propose ainsi des jeux en location. Pour l’heure, seule la NES est concernée, et ce sont pas moins de vingt jeux qui sont d’ores et déjà accessibles par ce service. Parmi eux, The Legend of Zelda qui a déjà eu l’occasion de ressortir sur moult formats.
The Legend of Zelda SP, pour un jeu plus accessible sur Nintendo Switch Online
Mais comme l’a fait remarquer un utilisateur des forums de ResetEra, la version proposée n’est pas la même que l’originale dans le sens où la mouture Switch affiche le macaron “SP” (pour Special). Une description permet d’apprendre que ce Zelda-là renferme un mode “Living the life of luxury!” permettant tout simplement de parcourir le jeu sans la moindre difficulté.
Quelle configuration pour la Second Quest ?
Dans cette configuration, le joueur débute ainsi l’aventure avec tous les équipements du jeu, des consommables ainsi que plusieurs centaines de rubis pour se payer à peu près tout ce que l’on désire. Et si l’on nous informe que terminer le jeu une fois dans ce mode donne accès à une nouvelle quête plus difficile nommée “Second Quest”, il n’est pas précisé s’il agit ici de la seconde aventure qui est proposée dans le jeu original au terme de la première.
À noter que d’autres titres sont déjà marqués “SP” dans le listing des jeux NES du Nintendo Switch Online. Parmi eux, Metroid, Super Mario Bros 1/3 et Double Dragon. Des jeux qui, pour certains, peuvent effectivement apparaître tels des générateurs de frustration.