Michel Drucker : « Je ne pense pas à la mort, et encore moins à la retraite. C’est un mot que j’ai totalement rayé »
L'animateur Michel Drucker était l'invité du "Buzz TV de TV Magazine" à l'occasion de la sortie de son livre "Il faut du temps pour rester jeune".
L’obsession de Michel Drucker est bien connue : durer et tenir la forme, et c’est son cas. Il ne veut pas décrocher. À plus de soixante-dix printemps, est-ce bien raisonnable ? Oui. Sur sa propre mort, Drucker explique :
« Je n’y pense pas beaucoup. Quand la mort frappera à ma porte, je n’ouvrirai pas. J’aimerais mourir comme Dalida, sur scène« .
Un hommage national ? Non, ce serait grotesque
Le jour de sa disparition, aimerait-il un hommage national ? Là, Michel Drucker est catégorique :
« Non, ce serait grotesque. Je ne suis pas un grand Français comme l’ont été Simone Veil, Jean d’Ormesson et Charles Aznavour. Je suis un homme qui a fait la télévision mais la télévision ne fabrique pas des stars. Ce sont des fausses stars à la télé« , lance l’animateur-producteur.
Je suis accro à la télé
Et la retraite ? Là aussi, c’est mal parti… »Ce mot de ‘retraite’, il est rayé de mon vocabulaire ! Je suis accro à la télé, c’est ma passion. Si je sens qu’un patron de chaîne souhaite mon départ, je prendrai la décision avant lui. J’ai failli le faire d’ailleurs, il y a six mois ».