Quand Mark Hamill lit le tweet des vœux de Donald Trump avec la voix du Joker
Mark Hamill, Luke Skywalker à l'écran mais aussi voix américaine du Joker dans "Batman : la série animée", s'est amusé à lire le tweet de vœux de Donald Trump à la manière du psychopathe le plus connu de Gotham City.
Révélé dans l’épisode 4 de Star Wars (La Guerre des étoiles puis A New Hope), Mark Hamill s’est par la suite notamment illustré dans le doublage du personnage du Joker dans Batman : la série animée. En France, cette performance vocale s’est voulue plus confidentielle puisque le dessin animé y a été diffusé en version française, avec Pierre Hatet pour assurer le rôle de l’ennemi juré de l’homme chauve-souris.
La commercialisation des épisodes en DVD a toutefois pu permettre à un public plus large de découvrir le travail de Mark Hamill sur l’œuvre de Bruce Timm et Eric Radomski. On le retrouve même jusqu’à aujourd’hui dès que possible dans tous les dessins animés et jeux vidéo où le Joker a une prestation à délivrer.
Le Joker lit Donald Trump pour souhaiter une bonne année
Pourquoi ce rappel ? Parce que dimanche, Mark Hamill a posté sur la toile un enregistrement audio du Joker avec sa voix. Les mots prononcés ont pu apparaître étrangement familiers à beaucoup de personnes, et pour cause, ils avaient été publiés sur le compte Twitter du président-élu Donald Trump le jour de la Saint-Sylvestre.
Le texte en lui-même disait : “Happy New Year to all, including to my many enemies and those who have fought me and lost so badly they just don’t know what to do. Love!” Soit, en français : “Bonne année à tous, y compris à mes nombreux ennemis et à ceux qui m’ont combattu et perdu si misérablement qu’ils ne savent plus quoi faire. Je vous aime !”
The Trumpster quote #1#ANewJeersToast https://t.co/qZQEGU18r6
— Mark Hamill (@HamillHimself) January 8, 2017
Une interprétation plus “glaçante” ?
S’il n’était pas vraiment difficile d’imaginer la voix de Donald Trump sur ces paroles, les entendre d’une manière probablement bien différente, en particulier avec un tel final, les rend ici (bien) (plus) inquiétantes. Et étant donné que Mark Hamill a publié l’enregistrement sous le nom “The Trumpster quote #1”, de nouvelles réinterprétations, et frissons, sont vraisemblablement à venir.