Mariés au premier regard 2023 : quels sont les candidats de cette saison ?
Ce soir, M6 lance la septième saison de sa télé-réalité "Mariés au premier regard". Il faudra compter avec quatorze candidats cette année.
C’est en ce lundi 20 mars 2023 que M6 propose, sur son antenne et dès 21h10, le premier épisode de la saison 7 de son programme Mariés au premier regard. Une télé-réalité matrimoniale où il sera, une nouvelle fois, question de trouver des compatibilités amoureuses entre les candidats pour ensuite les faire se marier.
Mariés au premier regard saison 7 : un départ et une arrivée
Rappel du principe de l’émission : quatorze célibataires doivent répondre à des questionnaires et se soumettre à des tests scientifiques. Les résultats sont ensuite examinés par des experts. L’occasion d’indiquer que cette saison, on ne retrouvera pas l’expert psychologue Pascal de Sutter, qui était là depuis le début. Il sera remplacé par le sexologue et thérapeute de couple Gilbert Bou Jaoudé. Pour en revenir au concept, les couples qui auront été formés par les spécialistes se découvriront le jour de leur mariage.
La liste complète des candidats
Qui pour se livrer à cette expérience de mariage à l’aveugle cette année ? On comptera six jeunes femmes et huit jeunes hommes, Télé 2 Semaines ajoutant l’identité de chacun. Du côté féminin, il y aura donc Annabel, Léa, Estelle, Jessica, Laura et Maurine; et du côté masculin, Emmanuel, Anthony, Benjamin, Jefferson, Maximilien, Pascal, Pedro et Fabrice.
Un couple homosexuel, une première dans l’émission
Comme on pouvait le deviner en prenant connaissance des proportions, cette saison sera marquée par la formation d’un couple homosexuel, une première pour le programme. Une comptabilité de 79% a été établie entre deux hommes. La psychologue Estelle Dossin indique à ce sujet que c’est parce que le pourcentage était élevé qu’il a finalement été décidé de lier deux hommes : “On ne voulait pas marier un couple gay, juste pour les marier. On aurait pu le faire avant, mais les résultats des tests n’étaient pas assez concluants, on a voulu attendre de faire les choses bien”.