“Lycée Toulouse-Lautrec” ce soir sur TF1 : une mini-série avec du handicap, mais pas que

La série "Lycée Toulouse-Lautrec" sur TF1.capture d'écran TF1
Ce soir, TF1 lance sur son antenne "Lycée Toulouse-Lautrec", une mini-série où une adolescente est amenée à mener sa scolarité auprès de camarades malades ou handicapés.
Ce soir à partir de 21h10, les téléspectateurs de TF1 vont pouvoir découvrir une nouvelle fiction, Lycée Toulouse-Lautrec. Une mini-série composée de six épisodes dont la chaîne va en diffuser ici les deux premiers. Dans sa bande-annonce, Lycée Toulouse-Lautrec peut rappeler un autre produit de la maison, Les Bracelets rouges qui mettait ainsi également en scène des adolescents au profil atypique.
”Lycée Toulouse-Lautrec” : d’abord une contrainte pour Victoire
Dans Lycée Toulouse-Lautrec, on suit le parcours de Victoire (Chine Thybaud), contrainte d’intégrer l’établissement en question pour y suivre son frère aîné Théo (Adrien Casse), épileptique suite à un accident. Victoire va découvrir que ce lycée accueille des élèves en situation de handicap. L’adolescente, au caractère bien trempé, va d’abord avoir du mal à se faire à cette compagnie, avant de finalement comprendre que ses préjugés cachaient des trésors d’amitié.
Un encadrement sûr
Si la fiction est censée mettre en lumière des adolescents, l’établissement reste tenu par des comédiens confirmés, en l’occurrence Stéphane De Groodt dans le rôle du proviseur Feuillate et Valérie Karsenti dans celui de l’adjointe Lespic. On compte aussi Aure Atika, qui joue Élisabeth, la mère de Victoire.
Une fiction basée sur une histoire vraie
Dans son avis rendu, AlloCiné informe que Lycée Toulouse-Lautrec se base sur une histoire vraie. Celle vécue par Fanny Riedberger, créatrice de la mini-série et à qui l’on doit aussi Clem et En famille. On n’oubliera évidemment pas de citer les nouveaux talents que sont entre autres Ness Merad, comédienne tétraplégique non professionnelle qui campe ici le personnage de Marie-Antoinette, Juliette Halloy incarnant Charlie ou encore Adil Dehbi qui donne vie à Reda.