L’ex-Miss France Malika Ménard révèle sa rencontre désagréable avec Donald Trump
Une rencontre lors de Miss Univers, compétition que beaucoup jugent comme sexiste.
C’est le 3 novembre prochain qui se tiendront les prochaines élections étasuniennes, alors que le président sortant Donald Trump brigue un second mandat. Un dirigeant polémique, notamment pour ses positions jugées conservatrices. La présidence de Donald Trump aura également été émaillée de déclarations sexistes. Carla Bruni, épouse de Nicolas Sarkozy, a récemment révélé le savon qu’elle a passé au dirigeant des Etats-Unis, qui affirmait avec eu une aventure avec elle. Aujourd’hui, c’est l’ex-Miss France Malika Ménard qui raconte sa désagréable rencontre avec Donald Trump, comme le rapporte Télé-Loisirs.
« On m’a dit ‘fais ton regard de salope’ »
C’est le 1er novembre que Malika Ménard, ex-Miss France 2010, était l’invitée des Enfants de la télé présenté par Laurent Ruquier. L’occasion de revenir sur sa rencontre avec Donald Trump, alors que la jeune femme sort son livre Fuck les complexes. Un livre dans lequel Malika Ménard évoque notamment les attouchements subis à l’âge de 5 ans.
Malika Ménard a croisé le chemin de Donald Trump lors de la compétition Miss Univers, dont il est le patron. Car en devenant Miss France, la jeune femme a participé à ce concours de beauté international. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette rencontre lui a laissé un mauvais souvenir.
Le jour où Donald Trump arrive, on nous a offert, à toutes, une robe ultra-moulante, avec un gros décolleté, les jambes à l’air, enfin la totale, pimpées (…) On m’a dit ‘fais ton regard de salope’ et comme je sais pas ce que ça veut dire je n’ai pas su faire (…) y’a des filles qui se sont effondrées après ça.
Malika Ménard explique qu’il fallait attirer l’attention de Donald Trump, chargé de choisir cinq femmes. Aujourd’hui, l’ex-Miss France estime qu’il s’agissait de « situations surréalistes » et que la compétition n’était pas glorieuse. Michel Boujenah, également invité chez Laurent Ruquier, a alors comparé Miss Univers au « marché des esclaves ».