Laurence Ferrari : « Je me réveille le matin en étant heureuse d’aller travailler »
Chaque jour, la journaliste de CNews prépare ses trois émissions en direct avec son interview du matin, ses deux heures d'émission également en live sur Radio Classique et son rendez-vous 'Punchline', en soirée.
Avoir les idées claires pour le lendemain, voilà l’objectif quotidien de Laurence Ferrari pour bien faire son job de journaliste. Interviewée par le magazine Télé7jours, la jeune femme a réussi à donner du temps à nos confrères malgré des journées chargées et millimétrées : « J’ai une rentrée chargée, je n’arrête pas et tant mieux. J’ai toujours été une grosse bosseuse. C’est chaque jour un émerveillement pour moi d’être journaliste. Cela fait 30 ans que je me réveille le matin en étant heureuse d’aller travailler« , assure Laurence Ferrari.
Le remplacement de Jean-Pierre Pernaut par Marie-Sophie Lacarrau est un bon choix
Questionnée sur le remplacement de Jean-Pierre Pernaut (TF1) par Marie-Sophie Lacarrau (ex-France 2), Laurence Ferrari estime que ce choix est bon : « J’ai connu cette place. Je trouve que c’est un très bon choix de la part de TF1 d’avoir fait appel à Marie-Sophie (Lacarrau, NDLR) que je ne connais pas personnellement. Quant à Jean-Pierre (Pernaut), je trouve qu’il a fait un choix courageux et élégant. Chapeau l’artiste !« . Il y a quelques jours, Laurence Ferrari avait été placée à l’isolement après avoir reçu sur Cnews, Bruno Le Maire, détecté positif au Covid19. Par mesure de précaution, la journaliste avait été écartée de l’antenne. En août dernier dans le Parisien, Laurence Ferrari expliquait qu’avec l’expérience elle se sentait beaucoup plus libre dans son travail de journaliste : « Je me suis libérée de mon image, de ce poids, car j’avais présenté le 20 Heures de TF1. Je suis très zen. Ce qu’on peut dire de moi ne m’importe plus car je n’ai plus rien à prouver. J’ai juste envie de faire ce que je veux dans une totale liberté et en étant authentique, donner le meilleur à mes téléspectateurs« .
Pr Didier Raoult, directeur de l'IHU Méditerranée Infection, sur la situation épidémique à Marseille : «On était sur la pente d'une petite diminution et là, il y a une petite réaugmentation» dans #LaMatinale pic.twitter.com/z1wNX4DsaW
— CNEWS (@CNEWS) October 6, 2020