Nouvelle cheffe du service politique de Paris Match, Laurence Ferrari réagit : “On ne m’a jamais imposé quoi que ce soit”
Actuellement sur CNews, l'ex-présentatrice du JT de TF1 a été nommée 'Cheffe du service politique' de Paris Match en remplacement de Bruno Jeudy.
Non, je suis Laurence Ferrari, pardon !
Ce samedi, la journaliste Laurence Ferrari était l’une des premières invitées de la nouvelle émission présentée par Léa Salamé sur France 2, intitulée “Quelle époque !”, dont le lancement a été un franc succès avec 1.104.000 de téléspectateurs. Désormais ‘Cheffe du service politique’ de Paris Match magazine détenu par Vincent Bolloré, Laurence Ferrari a réagi aux critiques sur sa nomination.
Je laisse les gens fantasmer
Selon la rédaction de Paris Match, Laurence Ferrari serait un nouveau signe de la ‘mainmise’ de Vincent Bolloré : “Je ne suis pas ‘sa protégée’ et je ne suis pas aux ordres de Bolloré. Est-ce que l’on dirait ça d’un journaliste qui a 34 ans d’expérience derrière lui, qui a fait à peu près toutes les rédactions de France, qui a fait de la radio, de la presse écrite, de la télévision. Est-ce qu’on lui poserait cette question-là, Léa ?“, a lancé la journaliste de Cnews.
Dans ce cas-là je suis une ‘TF1-girl’, une ‘Canal-Girl’ ou encore une ‘Europe1-girl’ !
“Vous savez Léa, Vincent Bolloré je le vois très peu, pas plus que je ne voyais Martin Bouygues quand je faisais le ’20 Heures’ de TF1 ou encore Jean-Luc Lagardère. J’ai commencé dans le groupe Lagardère et cela a été un honneur pour moi de travailler pour Jean-Luc et aujourd’hui pour son fils Arnaud. Donc non, je le vois assez peu mais c’est le fantasme après. Il y a un fantasme, je laisse les gens fantasmer. Dans ce cas-là je suis une TF1-girl, une Canal-Girl ou encore une Europe1-girl ! Non, je suis Laurence Ferrari, pardon. Je demande d’être jugée sur ce que je fais“, a conclu Laurence Ferrari.