L’ancienne maire de Marseille parle de son expérience professionnelle aux côtés de Didier Raoult
Michèle Rubirola a également défendu le professeur Raoult lors de son passage chez Laurent Ruquier.
Didier Raoult : un médecin qui divise autant qu’il suscite l’admiration des français. Si l’inefficacité du traitement à l’hydroxychloroquine a plusieurs fois été démontrée, l’homme persiste et signe, tout comme ses nombreux soutiens. Mais comment est Didier Raoult dans la vie de tous les jours ? Michèle Rubirola, ancienne maire de Marseille, était l’invitée de Laurent Ruquier dans On est en direct sur France 2. L’occasion pour la femme politique de partager son expérience, ayant travaillé dans la médecine aux côtés de Didier Raoult. Si cette dernière défend volontiers le professeur sur plusieurs point, elle révèle qu’à l’époque, l’homme était plutôt macho.
Michèle Rubirola félicite Didier Raoult pour les dépistages massifs du COVID-19
Michèle Rubirola a eu l’occasion de travailler dans le milieu hospitalier avec Didier Raoult et est revenue sur son expérience, décrivant l’homme comme macho, nous rapporte Télé-Loisirs.
Je l’ai connu quand il était interne, et moi j’étais externe. C’était mon chef. … Avec tout ce que je peux lui reprocher… A l’époque, il était même très macho.
Mais l’ancienne maire de Marseille le reconnaît aisément : « c’est un personnage, c’est un phénomène, comme on dit à Marseille, c’est une star ». Toujours dans un élan de solidarité marseillais, cette dernière félicite Didier Raoult pour s’être « mis en quatre pour tester un maximum à un moment où ne testait pas grand monde » lors du premier confinement, alors que les tests PCR n’étaient pas répandus comme aujourd’hui.
Quant à l’hydroxychloroquine, que Didier Raoult défend toujours ardemment, Michèle Rubirola explique, sans trop prendre de risque, que « pour moi, la chloroquine, je l’ai prescrite quand j’étais installée pour ceux qui partaient en vacance sous les tropiques, ce n’était pas si toxique que ça à l’époque ». L’ancienne maire de Marseille défend également le professeur en expliquant que ce dernier ne donnait que « des doses un peu plus élevées que celles que l’on donnait en prévention du paludisme ».
Michèle Rubirola s’est dérobée une ultime fois, expliquant ne pas vouloir « rentrer dans la polémique des études » et que Didier Raoult « n’a tué personne ».