Julia Vignali : “J’existe sans Kad (Merad) et je pense que cela fait aussi partie des choses qui lui ont plu chez moi”

Désormais présentatrice du magazine Télématin sur France 2 aux côtés de Thomas Sotto, la compagne de l'acteur Kad Merad s'est confiée sur son couple.

Présente sur les antennes de France Télévisions depuis août dernier, elle s’éclate dans l’animation du magazine ‘Télématin’. Ancienne animatrice du ‘Meilleur Pâtissier’ et de ‘Mon admirateur Secret ‘diffusés sur M6, la jeune femme de 46 ans ne s’attendait à atterrir sur France 2 : “J’avais fait le tour du ‘Meilleur Pâtissier’. J’avais envie de changement. Je me figurais que ce renouveau passerait par l’écriture, par la production… Tout, sauf par la télévision” assure Julia Vignali.

Recevoir Kad (Merad) dans ‘Télématin’ ne fut pas simple

Invitée sur RTL, Julia Vignali s’est confiée sur son couple au micro de Jade et d’Eric Dussart lors de l’émission ‘On refait la télé’, consacrée aux 20 ans des ‘Maternelles’, programme qu’elle a autrefois animé sur France 5. Lorsqu’elle a du recevoir son compagnon Kad Merad dans ‘Télématin’ en début d’année, cela ne fut pas aisé pour l’animatrice : “Franchement, c’était assez délicat. Ce n’est pas l’invité que je préfère tout simplement parce que ce n’est pas facile comme exercice. Ce n’est pas simple…”, commence-t-elle par expliquer.

On a mis les pieds dans le plat dès le début

“Nous avons mis les pieds dans le plat dès le début en se disant c’est hyper bizarre de se retrouver là, mais lui faisait son travail d’acteur, c’est à dire promouvoir la pièce qui s’appelle ‘Amis’ qui est formidable, ils sont en tournée dans toute la France actuellement et bientôt au Théâtre de la Michodière… Donc lui fait son travail d’artiste et je me suis dit on ne va pas phagocyter ce moment en jouant les : “Alors ça, t’as descendu les poubelles ce matin ?“‘, s’amuse Julia Vignali.

Une comédie romantique tous les deux

Travailler ensemble, Kad Merad et Julia Vignali sont prêts. Ils ont écrit une comédie romantique baptisée ‘Beaux parleur’, reste maintenant à trouver le financement.