Journée des bébés : sur leur première année, quel impact sur le sommeil des parents ?
Selon une étude britannique, plus de deux heures de sommeil par nuit seraient retirées aux parents d'un enfant sur la première année de ce dernier.
En cette journée des bébés, on peut rappeler à quel point la première année d’existence de ces petits êtres leur est difficile à vivre. Plus encore que pour la suite de leur vie, les bébés ont alors besoin d’une assistance quasi permanente. Rien de plus normal pour un ou des parents arrivant à prendre sur eux pour adapter leur quotidien à l’arrivée d’un enfant. Mais fatalement, ces adultes perdent en sommeil pour répondre aux besoins nocturnes de leur bébé.
Première année d’un bébé : 44 jours de sommeil perdus pour les parents
Une étude britannique avait été menée par Ergoflex auprès de 1 812 individus majeurs, avec des résultats parus en 2013. Il était notamment apparu que sur la première année d’existence d’un bébé, ce sont 44 jours de sommeil dont les parents devaient se priver. Chaque nuit, ils dormaient ainsi en moyenne 5,1 heures, contre 7,8 en temps normal.
Dormir en même temps que lui
Pour réduire au mieux les conséquences d’un manque de sommeil, telles que l’irritabilité et une production en baisse, plusieurs pistes vérifiées existent. Pour commencer, après avoir observé les moments de la journée où le nouveau-né dort pendant un temps significatif, les parents peuvent se caler sur ces périodes pour fermer les yeux à leur tour. Sachant qu’un bébé peut dormir 18 heures sur une journée, le choix se veut vaste.
Des nuits à respecter le plus possible
Il est ensuite recommandé de respecter la nuit le plus possible et en particulier quand elle est perturbée. Et par là, cela veut dire de ne pas transformer cette nuit en jour. Limiter les éclairages et les sources de bruit de manière à être préparé(e) à retrouver le sommeil au plus vite une fois le bébé calmé. Enfin, penser à soi et savoir déléguer les tâches font partie des conseils à suivre pour garder la santé pendant ces douze premiers mois d’accueil.