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Journée de la Saint-Valentin : des antidépresseurs pourraient réprimer les sentiments amoureux

Sciences > Saint-Valentin
Par Gael Brulin,  publié le 14 février 2023 à 17h00.
Sciences
Illustration. Un couple au lit.

Illustration. Un couple au lit. Pixabay.com

Selon une théorie, des antidépresseurs pourraient provoquer une perte du désir et des sentiments amoureux, en plus d'être déjà responsables de dysfonctionnements sexuels.

En cette journée de la Saint-Valentin, pouvant être considérée comme une prise de conscience de l’autre, des précautions sont de rigueur. Et dans la mesure du possible, si l’on souhaite se trouver dans les meilleures dispositions pour satisfaire son ou sa partenaire, l’usage d’antidépresseurs est à éviter. D’une part parce que ces derniers sont déjà connus pour provoquer des dysfonctionnements sexuels.

Les antidépresseurs, déjà connus pour provoquer des soucis sexuels, toucheraient aussi l’amour

Aux États-Unis, environ 30% des adultes prenant des ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), soit l’antidépresseur le plus courant, seraient touchés par des effets secondaires sexuels. Mais selon une théorie rapportée par WIRED, les antidépresseurs seraient également capables de réprimer des émotions telles que le désir, l’amour et la romance.

Le désir et l’excitation seraient altérés

Selon Helen Fisher, anthropologue biologique de l’université Rutgers, “il y a tout lieu de penser que les ISRS émoussent la capacité à tomber et à rester amoureux”. Ces antidépresseurs agissent sur la sérotonine en circulation et ce en augmentant les niveaux de ce neurotransmetteur. Sauf que ce dernier régule l’humeur qui inhibe le désir. Les ISRS ont également une incidence sur la dopamine, qui se retrouve ici diminuée alors que jouant un rôle dans le désir et l’excitation.

Une étude qui avait donné de timides résultats

À la fin des années 2000, seule une étude apparaissait avoir testé cette théorie. La psychologue Maryanne Fisher, de l’université Saint Mary’s, avait relevé que les femmes à qui l’on avait administré des antidépresseurs étaient moins réceptives à des clichés d’hommes séduisants. Mais, nous est-il précisé, les résultats n’avaient pas été probants, et l’expérience non reproduite.

Le Récap
  • Les antidépresseurs, déjà connus pour provoquer des soucis sexuels, toucheraient aussi l’amour
  • Le désir et l’excitation seraient altérés
  • Une étude qui avait donné de timides résultats
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