Ivanka Trump et Chelsea Clinton appellent au respect de la vie privée de Malia Obama
Alors que son père Barack ne dirige plus les États-Unis depuis maintenant plusieurs mois, Malia Obama demeure une cible de choix pour les tabloïds. Ivanka Trump et Chelsea Clinton ont depuis appelé au respect de la vie privée de la jeune femme.
Quand son père Barack accède à la fonction présidentielle en 2009, elle n’a même pas encore 11 ans. Le feu des projecteurs n’a alors pas attendu le nombre des années pour venir éclairer Malia Obama et sa sœur Natasha. Une lumière qui n’a toutefois pas cessé d’émettre même après le départ de Barack Obama de la Maison-Blanche.
Donald Trump occupe ainsi cette place depuis maintenant plusieurs mois. Mais si l’actuel chef d’État américain apparaît telle une inépuisable source d’articles plus ou moins désolants, les Obama continuent de leur côté de faire vendre du papier. Récemment, deux articles sont ainsi parus dans la presse à scandale sur Malia Obama.
Malia Obama est une « citoyenne privée », rappelle Ivanka Trump
Des sujets qui se sont apparemment étendus sur la vie privée de la jeune femme, ce dont se sont désolées deux personnalités féminines du monde politique américain. D’un côté Ivanka Trump, la fille du 45e président des États-Unis qui, vendredi, a demandé sur Twitter au respect d’une personne n’appartenant désormais plus à la sphère publique.
« Malia Obama devrait avoir droit à la même intimité que ses camarades d’école. C’est une jeune adulte et une citoyenne privée qui ne devrait plus faire partie du jeu ».
Malia Obama should be allowed the same privacy as her school aged peers. She is a young adult and private citizen, and should be OFF limits.
— Ivanka Trump (@IvankaTrump) November 24, 2017
La presse à scandale devrait se chercher une autre cible pour Chelsea Clinton
Chelsea Clinton, quant à elle fille du 42e président des États-Unis, a emboîté le pas à Ivanka peu de temps après sur le même réseau social : « La vie privée de Malia Obama, en qualité de jeune femme, étudiante, citoyenne, ne devrait pas vous constituer une cible à clics. Élevez-vous à mieux que cela. »
Chelsea Clinton avait précédemment adopté une position semblable quant au traitement de la presse envers Barron, le fils de Donald Trump âgé de 11 ans. Un jeune garçon qui continue en tout cas, jusqu’à il y a encore tout récemment, de faire l’objet d’écrits de la part des journalistes.