Gérard Jugnot évoque un tournage très particulier avec Gérard Depardieu
C'est en 2005 que les acteurs partageaient l'affiche de Boudu. Gérard Jugnot avait également la casquette de réalisateur.
Gérard Depardieu est un monstre sacré du cinéma. L’acteur a tourné aux côtés des plus grands réalisateurs, qu’ils soient français ou de l’étranger. Gérard Depardieu a également partagé l’affiche avec Gérard Jugnot dans Boudu, que ce dernier a également réalisé, en 2005. Et à l’occasion d’On est presque en direct sur France 2, l’interprète de Bernard Morin dans Les Bronzés est revenu sur cette expérience. Gérard Jugnot, qui a donc donné la réplique et dirigé Gérard Depardieu, s’est livré à certaines confidences plutôt amusantes, rapporte Télé-Loisirs. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que travailler avec Gérard Depardieu est une expérience particulière.
Tourner avec Depardieu n’est pas une mince affaire
Invité de la nouvelle émission de Laurent Ruquier, Gérard Jugnot s’est laissé aller à certaines confidences à propos de son expérience avec Gérard Depardieu sur le tournage de Boudu. Une expérience… particulière !
C’est un acteur magnifique ! On dirige Depardieu très facilement, c’est une bête à jouer ! C’est un type… On dit moteur, il s’arrête pas ! Alors il fait des choses particulières… Parfois, il fait… Il y a des sorties de route. Il a juste eu une triple fracture ouverte mais trois semaines après il était debout ! On peut tout lui en vouloir, il peut être décevant mais moi je lui en veux pas.
Gérard Jugnot semble donc ne pas avoir de rancœur à l’égard de Gérard Depardieu qui a eu pu lui donner du fil à retordre sur le tournage de Boudu ! Le long-métrage a largement divisé la critique.
A l’époque, Le Figaro félicitait l’œuvre de Gérard Jugnot, « modernisée, ensoleillée, toilettée aux couleurs de la Provence, cette nouvelle version de Boudu sauvé des eaux ne prétend pas rivaliser avec l’oeuvre célèbre de Renoir, mais invente tranquillement ses propres chemins et offre une comédie populaire sympathique et distrayante ». Chez Libération, autre son de cloche puisque « on s’y ennuie comme dans un gros pouf. On est devant ton film comme ton grunge de Boudu devant sa télé à mater des jeux TF1 débiles. »