États-Unis : agressée en salle de sport, elle parvient à se défaire de son assaillant
Le 22 janvier dernier dans l'État américain de Floride, une femme de 24 ans a été agressée dans la salle de sport de son immeuble. La victime, entraîneuse de fitness et bodybuildeuse, est parvenue à fuir son assaillant, depuis appréhendé.
Les faits ont tout juste un mois. Ils se sont ainsi passés le dimanche 22 janvier dernier à Tampa, ville de l’État américain de Floride. Nashali, étudiante de 24 ans, était en train de faire du sport dans une salle dédiée au sein de son immeuble. La scène, à même de choquer, a été capturée par plusieurs caméras de surveillance, avec un récit rapporté par Le Parisien.
En Floride, une femme sexuellement agressée dans une salle de sport
Nashali raconte qu’elle a ouvert la porte à cet homme qui, a priori, venait lui aussi faire du sport. Mais elle a assez rapidement pu se rendre compte que le visiteur avait une autre idée en tête. Dans des images diffusées par les autorités locales, la jeune femme explique que l’homme n’avait de cesse de vouloir aller à son contact : « À chaque fois qu’il tentait de m’approcher, je le repoussais. Je lui disais ‘Frère, qu’est-ce que tu fais ? Éloigne-toi de moi ! Arrête d’essayer de me toucher !' »
Un assaillant apparaissant épuisé quelques minutes plus tard
La victime se trouve être entraîneuse de fitness et bodybuildeuse. Un profil l’ayant possiblement aidée à résister aux assauts de l’agresseur, et quelques minutes plus tard, ce dernier semblait exténué. Mais comme l’ajoute Nashali, c’est vraisemblablement un enseignement familial qui a donné la force à l’étudiante de se débattre aussi longtemps : « Mes parents m’ont toujours appris que, dans la vie, il ne fallait jamais abandonner et c’est quelque chose que j’ai gardé en tête quand je luttais contre lui ».
L’individu appréhendé
Le mis en cause, âgé de 25 ans, a été appréhendé moins de vingt-quatre heures plus tard par le bureau du shérif du comté. L’individu pourrait faire l’objet de poursuites pour « tentative de kidnapping », « emprisonnement illégal » et « agression sexuelle ».