Enora Malagré tacle Nabila et Morandini pour la dernière de TPMP
Enora Malagré participait à la dernière de TPMP ce vendredi. La chroniqueuse a fait part de son avis sur Nabila et Morandini.
Enora Malagré n’apprécie pas réellement le personnage de Nabila. Dans la rubrique « le bilan télé de la saison », la chroniqueuse a été amenée à donner son avis sur cette star de la télé-réalité. Enora Malagré estime que Nabila est au final plus maline que certains peuvent le croire. Elle ne s’attaque donc pas à sa personne, mais davantage à la représentation de la femme qu’elle donne. « C’est la célébration de la vulgarité, de la superficialité et c’est la célébration de la gloire un peu éphémère et illégitime et moi ça me pose un problème » explique celle qui a intégré l’équipe de Ruquier sur Europe 1.
« VRP de la télé-poubelle »
Enora Malagré approuve le choix de ses deux collègues qui ont décidé de critiquer Jean-Marc Morandini. Jean Luc Lemoine explique qu’il n’a pas compris son projet professionnel, car il avait précisé lors de son arrivée sur NRJ 12 qu’il ne ferait pas de télé-réalité, il laissait cette branche à Delormeau. Finalement, le chroniqueur remarque que le journaliste a proposé ces sujets tout au long de la saison. Enora Malagré estime que s’il n’avait pas revu son projet professionnel, son émission n’aurait absolument pas fonctionné. Christophe Carrière les rejoint en indiquant qu’il « n’a jamais aimé ce mec […] Pour moi, c’est le VRP de la télé-poubelle ».
« C’est une catastrophe »
Les chroniqueurs de TPMP n’ont pas admis qu’un membre de l’équipe de Jean-Marc Morandini s’inspire de la rubrique de Jean-Luc Lemoine. Cyril Hanouna tente de temporiser en expliquant que cela n’est pas vraiment grave, mais Enora Malagré estime que les chiffres sont là pour le prouver « c’est une catastrophe ». La chroniqueuse admet qu’il est tout de même un vrai phœnix puisqu’il ressuscite à chaque fois qu’un programme chute. Jean-Marc Morandini a signé pour deux ans, mais Vous êtes en Direct devrait subit à la rentrée un lifting. Christophe Carrière termine en expliquant « c’est comme la mauvaise herbe, ça repousse tout le temps ».