Danemark : pour la réouverture des clubs échangistes, une radio diffuse l’ébat d’une journaliste sur place
Pour couvrir le sujet de la réouverture des clubs échangistes, une journaliste danoise a littéralement donné de sa personne en se rendant dans l'un de ces établissements et en enregistrant son ébat. Lequel a été diffusé à la radio.
C’est une manière peu commune de faire du journalisme et que l’on pourrait davantage observer dans des fictions érotiques voire pornographiques. Une radio danoise ancrée dans la réalité a pourtant bien diffusé sur ses ondes l’ébat de l’une de ses journalistes en club échangiste. Le Midi Libre relate que celle-ci couvrait le sujet de la réouverture des clubs échangistes en cette période de recul de la pandémie.
Ébat sexuel d’une journaliste diffusé à la radio : un message a averti les auditeurs
Avant la diffusion du sujet en question, lundi à 8h40 heure locale, un message a averti les auditeurs qu’ils allaient s’exposer à l’enregistrement d’un rapport sexuel. On facebook.com/2319925761607995/videos/176063594432936?__cft__[0]=AZXiut9u3LklnQ6tzK5CQ3xIru06aMAg9h1RQA_iO3Y9VwBe2K7rHEf0MQbNRDUk908TxiWqWml-cSvYN1JqKjrKmf97v1ghyHZ8yOQYfFUMYn65fT75AtSGuO5aqYUXpjBbWrnwA8OcSwrDvN0AtlU4">entend ensuite, dans une séquence à ne réserver qu’à un public mature, la journaliste se faire expliquer les règles du club. Après avoir interrogé des participants sur la réouverture de ce genre d’établissements, elle s’est elle-même laissée aller à un ébat sexuel en demandant à son partenaire de décrire ce qu’il voyait. Les sons émis vers la fin de l’enregistrement diffusé sont pour le moins explicites.
“Ma propre participation donne un aperçu d’un monde dont on a rarement une vue complète”
Tina Kragelund, responsable des programmes de Radio 4, estime qu’il est sain de tenter de nouvelles approches dans le milieu du journalisme : “Je trouve que c’est bien quand nos reporters essaient d’expérimenter le journalisme de façon différente”. Concernant la journaliste s’étant livrée à cet exercice, on nous précise qu’elle n’avait jamais expérimenté un club libertin auparavant. Elle aussi défend cette façon de faire pour l’éclairage qu’elle apporte : “Ma propre participation donne un aperçu d’un monde dont on a rarement une vue complète”.