Menu
24matins
Navigation : 
  • Actualité
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • International
  • Économie
  • Santé
  • Politique
  • Sport
  • Tech
    • trackr.fr
  • Divertissement
    • Séries TV
    • Films
    • Recettes
En ce moment : 
  • Jardin
  • Symptômes
  • Espace
  • OpenAI
  • Cuisine

Covid-19 : Pour David Pujadas, la presse entretient un climat d’angoisse

Divertissement > Médias > COVID-19 > TF1
Par Lionel Durel,  publié le 4 janvier 2022 à 15h30.

L'ex- présentateur du 20h de France 2, David Pujadas, était l'invité syr Europe 1 de Philippe Vandel dans l'émission "Culture Médias", occasion pour le journaliste de parler des médias.

Désormais sur LCI avec son rendez-vous ’24H Pujadas’, David Pujadas s’est confié hier au micro de Philippe Vandel. Invité afin d’évoquer le dispositif de sa chaîne pour la campagne présidentielle, le journaliste est revenu sur l’actualité du moment, en particulier sur le variant Omicron.

La peur fait vendre

Pour David Pujadas, les médias, politiques et médecins créent un climat d’angoisse, comme il l’avait déjà rappelé durant son émission ’24H Pujadas’ : « J’estime que les médias, globalement, entretiennent un climat de peur ! La peur fait vendre. La peur est l’alliée du commerce. Les émotions font vendre et la peur est l’émotion la plus immédiatement perceptible, celle qui suscite le plus de réactions« , affirme et analyse le présentateur d’LCI.

L’aspect ‘je me couvre’ pour les médecins

Pour David Pujadas, les professionnels de santé cherchent à se ‘couvrir’ et préfère noircir le tableau : « Les scientifiques et les médecins ont intérêt à annoncer le pire pour se couvrir et pour qu’il n’y ait que des bonnes surprises, et pour préserver l’état de l’hôpital. Ils ont aussi le souvenir de l’épisode de la ‘grippette’. D’une certaine manière, tout nous pousse vers la peur. Tout nous pousse vers l’anxiété : l’aspect commercial pour les médias, l’aspect principe de précaution pour les politiques, et l’aspect ‘je me couvre’ pour les médecins« .

Aujourd’hui, la contamination n’est plus un indicateur aussi pertinent

Comme preuve, David Pujadas fait un parallèle entre la situation du printemps 2020 et celle d’aujourd’hui tout en rappelant : « A ce jour, on nous présente les 200.000 contaminations quotidiennes comme un drame. Or, la contamination aujourd’hui n’a plus rien à voir avec la contamination du printemps 2020, quand c’était le premier variant et que l’on n’était pas vacciné. Aujourd’hui, la contamination n’est plus un indicateur aussi pertinent », pense le journaliste.

 

 

Le Récap
  • La peur fait vendre
  • L’aspect ‘je me couvre’ pour les médecins
  • Aujourd’hui, la contamination n’est plus un indicateur aussi pertinent
En savoir plus
  • Trump aurait adressé une lettre suggestive et illustrée que Trump à Jeffrey Epstein
  • Anne-Sophie Lapix débarque sur M6 et RTL en 2025 : une présence médiatique incontournable
  • Les actualités n’ont aucune valeur pour le business publicitaire de Google en Europe
Vous aimez nos contenus ?
Recevez chaque jour nos dernières publications gratuitement et directement dans votre boite mail
Recevoir la newsletter
  • À Propos
  • Nous contacter
  • Infos Légales
  • Gestion des données personnelles
© 2025 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins  - ADN Contents -